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Sur le vif - Page 154

  • Electricité : merci, les flambeurs !

     
    Sur le vif - Mardi 13.09.22 - 13.13h
     
     
    Mais qui a géré aussi mal nos grands distributeurs d'électricité, en Suisse, pour que le pays ait besoin de prendre dix milliards d'argent des contribuables, notre argent, pour venir en aide à ces géants qui, du temps de leur splendeur, nous narguaient de leur arrogance ?
     
    Dix milliard, votés en urgence ce matin par le Parlement ! Quatre milliards, offerts la semaine dernière à Axpo, par le Conseil fédéral ! Pour Swissair, pour les grandes banques, pour les géants électriques, on trouve immédiatement les milliards. Pour nos personnes âgées, jamais ! Le même Conseil fédéral vient de leur refuser l'indexation des rentes !
     
    Qui, ces dernières décennies, a géré ces grands fournisseurs d'électricité ? Qui a investi dans des fonds spéculatifs ? Quelle a été l'activité de contrôle, d'anticipation des risques, de la part du Conseil fédéral, du DETEC, de Mme Sommaruga ?
     
    Qu'en est-il de nos grands distributeurs, en Suisse romande ? Quel contrôle politique, dans les Cantons ? Certains d'entre eux, idéologisés à l'extrême, et à la fois bien souples face à la finance spéculative et aventureuse, n'ont-ils pas été laissés en roue libre ? Ne le sont-ils pas, aujourd'hui encore ?
     
    Citoyen et et contribuable, je veux bien que mes impôts viennent en aide aux personnes âgées, aux plus démunis. Mais pas qu'ils servent à éponger des erreurs de gestion, ou des errances financières, ou des prises de risques inconsidérés par des flambeurs. Cela, non, non et non !
     
     
    Pascal Décaillet

  • La fougue des convertis

     
    Sur le vif - Mardi 13.09.22 - 09.53h
     
     
    Qu'une entreprise fasse payer un loyer à ses employés pour une place de parking qu'elle met à leur disposition, ou qu'elle leur offre cette place, cela est du ressort contractuel privé entre l'entreprise et l'employé.
     
    En aucun cas l'Etat, en l'occurrence M. Dal Busco, ministre porté au pouvoir par un électorat qui respecte la sphère privée et n'entend pas nationaliser les consciences, n'a à s'en mêler. Mais notre homme est habité par la fougue des convertis.
     
    Une entreprise fait strictement ce qu'elle veut de ses surfaces, elle les loue ou les offre à qui elle veut. Un employé vient comme il veut sur son lieu de travail. Libre à lui de prendre le CEVA, s'il arrive à se retenir d'aller aux toilettes pendant un certain temps et n'a pas oublié dans sa poche les quelques sachets d'anti-dépresseurs nécessaires à un tel pèlerinage, ou alors de venir à pied, à cheval, à vélo, en Oldsmobile, ou en bateau à voile.
     
    Pascal Décaillet
     
     

  • Tiens, un problème au DIP !

     
    Sur le vif - Lundi 12.09.22 - 16.20h
     
     
    Des problèmes, entre les directeurs de Collèges, et autres établissements du Secondaire 2, et le Département ? Vous n'y pensez pas !
     
    J'étais bien seul, quand j'ai sorti l'affaire, à l'époque. La presse de gauche, à Genève, sous la plume de l'un de ses représentants les plus obédients au pouvoir socialiste, niait toute gravité de l'affaire, quand elle ne contestait pas son existence.
     
    L'eau a coulé sous les ponts. La Commission de Contrôle de gestion du Grand Conseil a fait son boulot. Et elle a bien bossé ! Le malaise, dit-elle, n'est absolument pas dû à des questions de sous-dotations financières, mais bel et bien à un manque total d'écoute de la souffrance des directeurs et directrices, de la part des apparatchiks du Département. Elle parle de "rupture du lien de confiance".
     
    Les choses sont dites. Mais pour certain(e)s, il est trop tard. Le mal est fait.
     
    Ce Département est à reconstruire. De fond en comble.
     
     
    Pascal Décaillet