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Le mot NON ne m'a jamais fait peur

 
 
Sur le vif - Vendredi 18.07.25 - 07.10h
 
 

Fragiles et peu fiables depuis le début, les prétendues « mesures de protection salariale » pour les travailleurs suisses, dans l’accord CH-UE, vacillent. C’était tellement prévisible.
 
Quand un traité respire le double langage, pour ne pas user d’un autre mot, on le refuse. Aux syndicats de notre pays de montrer si, oui ou non, ils défendent, en absolue priorité, nos travailleurs nationaux. Au peuple suisse, le jour venu, de prendre ses responsabilités.
 
Citoyen de ce pays, je prendrai les miennes. Le mot NON ne m’a jamais fait peur.
 
 
Pascal Décaillet

Commentaires

  • Tout va mal dans cet Accord hors-cadre, rien ne tient la route, du moins selon les intérêts du Peuple suisse! Le kraken européen se pourlèche déja les tentacules!

  • Nos autorités ne savent pas négocier un simple contrat d'acquisition d'avions sans qu'il faille, quelques années plus tard, parler de malentendu sur un point qui avait été présenté comme essentiel. Il est hors de question de leur faire confiance sur une affaire aussi complexe que celle de nos relations avec l'UE. Nous pouvons partir de l'idée que ces accords n'ont pas été lus attentivement, et que leurs conséquences n'ont pas été comprises par nos dirigeants. On ne peut pas exclure, non plus, tant sur les avions que sur l'UE, que les négociateurs agissent avec un but politique (acheter coûte que coûte des avions, ou se rapprocher coûte que coûte de l'UE) quitte à ne pas tout dire au peuple, ce stupide empêcheur de tourner en rond des chantres de la démocratie, toujours considéré comme trop bête pour comprendre les enjeux.

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