Sur le vif - Vendredi 18.07.25 - 07.10h
Fragiles et peu fiables depuis le début, les prétendues « mesures de protection salariale » pour les travailleurs suisses, dans l’accord CH-UE, vacillent. C’était tellement prévisible.
Quand un traité respire le double langage, pour ne pas user d’un autre mot, on le refuse. Aux syndicats de notre pays de montrer si, oui ou non, ils défendent, en absolue priorité, nos travailleurs nationaux. Au peuple suisse, le jour venu, de prendre ses responsabilités.
Citoyen de ce pays, je prendrai les miennes. Le mot NON ne m’a jamais fait peur.
Pascal Décaillet