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Liberté - Page 572

  • Marre des "collectifs" !

     

    Sur le vif - Mardi 05.11.19 - 15.57h

     

    Je n'en peux plus d'entendre parler de tous ces "collectifs", dont 99,999 % sont à gauche, dont on se demande quelle est la légitimité, et dont certains, en plus, sont subventionnés !

    N'importe quelle escouade de camarades peut, de nos jours, à tout moment de la journée ou dans le bleu d'une nuit d'ivresse, fonder un "collectif". Nul statut. Nulle inscription dans un registre, comme on l'exige d'une société, ou même d'une association. Nulle preuve de représentativité. Quelques soudards suffisent.

    Et on gueule, dans la rue. Et on brandit des pancartes. Et on s'autoproclame. Et on confond la rue, le caniveau parfois aussi, avec la démocratie.

     

    Pascal Décaillet

     

     

  • L'indécence d'un excédent

     

    Sur le vif - Mardi 05.11.19 - 13.32h

     

    20 milliards d'excédent pour les assurances sociales en Suisse ! Et un capital de quelque 1000 milliards ! Et des milliers de retraités qui n'arrivent pas à tourner, parce qu'ils touchent le minimum de la rente !

    Dès lors, deux possibilités : soit on fait, très vite, un geste pour les plus défavorisés, notamment parmi les rentiers AVS. Soit on envisage une diminution des cotisations. Faut-il rappeler qu'un indépendant paye seul la totalité de ses cotisations AVS. Et de sa future retraite. Le saviez-vous, cela, Mesdames et Messieurs les fonctionnaires, tiens genevois, par exemple ?

    Dans les deux cas, ça exige une classe politique qui se bouge. Se montre sensible à la souffrance de nos compatriotes. Et consacre sa législature 2019-2023, à Berne, à d'autres priorités que la mode véhiculée par les bobos climatiques.

    Les classes moyennes sont tondues, en Suisse. Et les assurances sociales ne savent plus que faire de leurs milliards !

     

    Pascal Décaillet

     

     

  • Entre rêve et néant, la nation !

     
    Sur le vif - Mardi 05.11.19 - 10.20h
     
     
    Chaque nation ne doit compter que sur elle-même. Le multilatéralisme, c'est du rêve, du château de cartes, de la grande illusion. Dès que vient poindre le premier vent contraire, le trompe l'œil multilatéral s'effondre. Et nous laisse découvrir la vérité nue de chaque nation, seule, livrée à elle-même.
     
    Chaque nation doit, en absolue priorité, s'occuper d'elle-même. Sa cohésion sociale, son souci des plus démunis, sa fraternité interne, la rendront forte pour assumer la solitude de son destin, au milieu des mensonges des puissants, des diplomates, de tous ces gens qui nous sourient par beau temps, et ne manqueront pas de nous étouffer lors de la tempête.
     
    Chaque nation doit trouver en elle-même, dans son génie propre, dans son Histoire, son narratif à elle, dans les récits qui forgent sa communauté d'appartenance, les ressorts de sa survie. Car il s'agit de survivre, ou mourir.
     
    N'accordons aucune foi à la pieuvre internationale. Souvenons-nous de la SDN. Souvenons-nous d'Adrien Deume, qui taillait ses crayons, dans la Genève internationâââle. Souvenons-nous du Traité de Versailles, signé par les mêmes hommes qui, la même année, lançaient à Genève la Société des Nations.
     
    Le Traité de Versailles, totalement ignoble à l'endroit du peuple allemand, cause première de l'essor du nazisme dans les années vingt, puis de sa prise de pouvoir le 30 janvier 1933.
     
    Et on ose commémorer le Traité de Versailles ! Et on ose commémorer la fondation de la SDN !
     
    Ne rien attendre de la toile internationaliste, menteuse et furtive. Tout attendre de soi-même. De son caractère propre. De ses fureurs internes, de ses révoltes. Et aussi de la puissance, fondatrice, poétique, libératrice, de nos rêves.
     
     
    Pascal Décaillet