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Sur le vif - Page 318

  • Deux thunes, pour la route

     
     
    Sur le vif - Mercredi 14.10.20
     
     
    Dix francs de plus pour les rentiers AVS en 2021 !
     
    Dix francs ! Cinq + cinq.
     
    Vous prenez une pièce de cinq francs, vous la posez à côté d'une autre. Et vous avez l'augmentation mensuelle pour nos aînés.
     
    Des gens qui ont travaillé toute leur vie. Participé à la prospérité de notre société. Nombre d'entre eux ont eu des enfants, les ont élevés, éduqués.
     
    Ils représentent quatre décennies de vie active, un peu plus même, au service de la Suisse. Ils ont fait, à la sueur de leur front, l'économie de ce pays, l'une des plus florissantes du monde.
     
    Une pièce de cinq francs. Et une autre pièce de cinq francs.
     
    Et on dilapide des milliards pour ce que vous savez. Et qui nous révulse tous. Et nos personnes âgées, on leur donne deux thunes, pour la route.
     
    Contre cette politique absolument dégueulasse, nous devons tous nous élever vigoureusement. Tous, de gauche comme de droite. Exiger, dans ce pays, une absolue priorité pour les nôtres. Ceux qui ont vécu ici, travaillé ici, fait ce pays.
     
    Deux thunes par mois, c'est immonde.
     
     
    Pascal Décaillet
     
     
     

  • La vie privée de l'Ange

     
    Sur le vif - Mercredi 14.10.20 - 06.44h
     
     
    Lorsque poindra l'Apocalypse, tous océans en furie, tous cieux incendiés, toutes terres éviscérées, et l'Ange surgissant, les sociétards continueront-ils de déposer des motions sur son sexe ?
     
     
    Pascal Décaillet
     
     
     

  • Sociétards totalement décalés !

     
    Sur le vif - Mardi 13.10.20 - 16.00h
     
     
    Les députés qui inondent le Parlement de sujets "de société", liés notamment au sexe, au genre, ou encore au mode vestimentaire, alors que Genève est devant la pire crise économique depuis la guerre, portent une lourde responsabilité face à l'Histoire.
     
    Leur décalage total, par rapport aux VRAIES SOUFFRANCES de la population, ruine non seulement leur crédit à eux, mais aussi celui du législatif dans son ensemble, comme institution de la République. Plus globalement encore, celui des élus, face au peuple.
     
    S'il faut un cabinet de guerre pour redresser l'économie du Canton (je plaide dans ce sens dans GHI, à paraître demain), on espère aussi un Parlement de guerre, responsable et sélectif dans la hiérarchie de ses priorités.
     
     
    Pascal Décaillet