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Sur le vif - Page 320

  • Mauro Poggia, le petit dictateur cantonal

     
    Sur le vif - Jeudi 19.11.20 - 23.38h
     
     
    Mauro Poggia, ivre de son pouvoir absolu, perd complètement les pédales, multiplie les postures de petit dictateur dans la République, fait pression sur la liberté de la presse et des citoyens, et devient le problème no 1 du Conseil d'Etat à Genève.
     
    Les pressions et menaces de cet individu ne m'impressionnent pas. Je continuerai de dire la vérité à son sujet. Je continuerai d'exprimer mon point de vue citoyen dans la République, et de commenter la vie politique en totale indépendance d'esprit.
     
    Je ne céderai à aucune des pressions, d'une vulgarité sans précédent, du petit dictateur cantonal.
     
     
    Pascal Décaillet

  • Lex Décaillet - Simple, claire, rapide !

     
    Sur le vif - Jeudi 19.11.20 - 14.43h
     
     
    Les fonctionnaires cantonaux ne doivent pas être éligibles au Grand Conseil.
     
    Les fonctionnaires municipaux ne doivent pas être éligibles au délibératif de leur Commune.
     
    Les fonctionnaires fédéraux ne doivent pas être éligibles aux Chambres fédérales.
     
    Chacune de ces trois catégories doit pouvoir être éligible, sans problème, aux deux autres échelons.
     
    C'est quand même pas compliqué à mettre sur pied, ce que je propose là !
     
    Citoyennes, citoyens, réveillons-nous ! Les patrons, c'est nous. Pas les profs de droit.
     
    La politique a besoin de bon sens et de simplicité. Pas de pisseurs de thèses en circuit fermé. Dissimulant leur carte du PS sous leurs leçons de morale.
     
     
    Pascal Décaillet
     

  • Budget 2021 : le sens d'une trahison

     
    Sur le vif - Jeudi 19.11.20 - 09.40h
     
     
    Le wagon de Rethondes. C'est bien l'image qui saute à l'esprit quand on considère le ralliement de dernière minute de la droite gouvernementale, notamment le PLR, à un déficit de 350 millions supplémentaires, par rapport à celui prévu en septembre, pour le budget 2021 du Canton de Genève. 850 millions, au lieu de 500.
     
    Pour ce PLR, qui dès la fin de l'été avait été celui de toutes les postures d'opposition, condamnant à juste titre le 353 postes supplémentaires, y compris dans ce DIP qui regorge de placards d'état-major, ce retournement de situation porte un nom : cela s'appelle une capitulation. En rase campagne. Toute autre qualification, atténuante par rapport à celle que je donne ici, relèverait de la sous-estimation, de l'euphémisme, donc de la faiblesse dans le champ de la critique politique.
     
    Creuser le déficit, donc aussi la dette, léguer à nos enfants un fardeau supplémentaire, c'est la politique de gauche. Pas celle du PLR ! Pas celle de la droite, en général ! La trahison des clercs, sur ce budget 2021, n'est donc rien d'autre que l'acceptation bravache de l'idéologie de gauche comme désormais dominante au Conseil d'Etat, ainsi qu'au Grand Conseil.
     
    Qu'ont-ils fait, de toute urgence, les "partis gouvernementaux" ? Ils ont tenté, désespérément, de sauver les meubles. A deux reprises, le Conseil d'Etat, inconsidérément, a mis le feu à son propre Canton, fermant les commerces, obligeant des dizaines de milliers d'employés à recourir au chômage technique, mettant sur la paille entreprises et entrepreneurs. Tout cela, sous le diktat d'une bureaucratie sanitaire cantonale dont l'Histoire aura à dégager la prise exorbitante de pouvoir, les abus, la petite dictature des petits chefs.
     
    Alors, ce Rethondes de novembre 2020, c'est quoi ? C'est justifier le pire ! Justifier la main de l'Etat, à nouveau puisant dans la caisse, aggravant l'endettement, pour éponger les propres erreurs de nos dirigeants. Ce Rethondes, c'est la complicité béate des "partis gouvernementaux" pour une immense opération de blanchiment du recours au déficit, et à la dette. Ce Rethondes, c'est une trahison.
     
    C'est ainsi qu'il faut dire les choses, et pas autrement. En parlant le langage des gens, le langage du peuple, et pas le sabir juridique ou financier dont se parent les capitulards, pour mieux camoufler la nature scélérate de leur acte.
     
    C'est ainsi, en tout cas, que moi je parle. Je ne m'exprime pas pour plaire. Mais pour dire les choses, telles qu'elles sont, une fois dissipé le rideau de fumée de la propagande du pouvoir.
     
     
    Pascal Décaillet