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Sur le vif - Page 131

  • Le peuple suisse. Et lui-seul !

     
    Sur le vif - Jeudi 02.03.23 - 15.06h
     
     
    Les élus qui veulent juste plaire à l'internationale, juste jouer l'image, organisent la trahison des clerc. Ce sont des snobinards de salons, tout juste bons pour les courbettes mondaines.
     
    Nous, les citoyennes et citoyens, plaçons au centre de tout les intérêts supérieurs du peuple suisse. Et de lui-seul !
     
    D'abord, les nôtres ! D'abord, notre cohésion sociale, à l'interne. D'abord, former nos jeunes, puis leur offrir des emplois ! D'abord, la fiscalité des classes moyennes ! D'abord, le pouvoir d'achat pour tous ! D'abord, un système de santé juste et performant ! D'abord, notre souveraineté suisse, comme nation indépendante. D'abord, une défense nationale efficace et moderne !
     
    Après, APRÈS SEULEMENT, si vraiment nous n'avons rien d'autre à foutre, en guise de salamalecs, nous nous soucierons de plaire à l'étranger.
     
     
    Pascal Décaillet

  • La raison du plus fort

     
    Sur le vif - Mercredi 01.03.23 - 16.32h
     
     
    Je n'ai jamais cru, une seule seconde, au "droit international".
     
    Il n'existe pas de droit international. La politique est un rapport de forces, d'une violence inouïe. Elle l'est à tous les niveaux, parce qu'elle implique le jeu du pouvoir entre les humains, dans toute sa noirceur.
     
    On a commencé à parler de "droit international", surtout, à partir de 1919, après l'horreur absolue de la Grande Guerre. Ce fut Versailles, la loi du vainqueur, la folie d'un Clemenceau qui imposa (contre Wilson) à l'Allemagne des "Réparations" dont on connaît les conséquences. On a fondé la SDN, dont on a pu savourer l'efficacité.
     
    On nous a gargarisés de "droit international" depuis 1945. En réalité, un édifice occidental, satellitaire à l'hégémonie des Etats-Unis d'Amérique.
     
    On nous a bassinés de "droit international" pendant toutes les Guerres balkaniques, dans les années 1990. En vérité, la Pax americana ! Sur les bancs des accusés, toujours les Serbes. Il fallait un alibi judiciaire pour justifier la création d'un Grand Méchant par Washington, qui voulait juste avancer ses pions économiques (et énergétiques !) dans les Balkans.
     
    Il n'existe pas de "droit international". Il n'existe, comme dans la fable du loup et de l'agneau, que la raison du plus fort.
     
     
    Pascal Décaillet

  • Laisser croupir nos retraités, c'est dégueulasse !

     
    Sur le vif - Mercredi 01.03.23 - 14.25h
     
     
    On déverse des sommes colossales dans le gouffre à millions de l'asile. Et on refuse le moindre geste dans l'adaptation des rentes de nos retraités. C'est purement et simplement dégueulasse.
     
    Nos retraités, j'insiste sur le possessif. Parce qu'il est affectif, il indique une communauté nationale d'appartenance, en allemand on dit "Gemeinschaft".
     
    Les nôtres, oui. Nos pères, nos mères. Nos compatriotes. Le lien du sang, celui de la Patrie. Cette communauté doit être placée en tête de nos priorités, en termes de solidarité.
     
    Aujourd'hui, c'est le contraire. On sanctifie l'Autre, on laisse croupir le Nôtre. C'est immonde. C'est contraire à tout ce qui fonde l'instinct national, l'essence même d'un pays. Car il faut délimiter, il faut des frontières, le "monde" n'existe pas, ni "l'universel" : seul existe l'instinct de survie de communautés rivales. Le reste, c'est du pipeau, du catéchisme, de la floraison d'utopie dans nos âmes en jachère.
     
    D'abord, les nôtres. Et parmi les nôtres, les plus fragiles. Nos personnes âgées en font partie : leurs conditions de vie doivent être impérativement améliorées. Oui, on commence par ça. Et après, SEULEMENT APRÈS, on envisage éventuellement de soulager la misère du monde.
     
     
    Pascal Décaillet