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Sur le vif - Page 171

  • Energie : les irresponsables, ça suffit !

     
    Sur le vif - Mercredi 20.07.22 - 16.40h
     
     
    Le parti suisse qui nous a mis dans la gonfle ne parle que « d’économies d’énergie » ! C’est sa manière de raser les murs, et de tenter de faire oublier sa responsabilité écrasante dans l’impasse actuelle, et surtout celle de l’hiver prochain.
     
     
    Bien sûr qu’il faut se montrer économe avec l’énergie ! Ce point est indiscutable. Mais l’impéritie de nos dirigeants porte sur l’absolue sous-estimation de notre APPROVISIONNEMENT. Et sur la méconnaissance, hautement coupable, de la nature foncièrement STRATÉGIQUE de la question énergétique. Folie d’avoir laissé des d’amateurs - et des amatrices - à ce niveau-là de responsabilité !
     
     
    Des idéologues ! Des enfants de chœur ! Qui n’entendent rien aux rapports de forces, entre les nations.
     
     
    Il ne fallait pas quitter le nucléaire. Il ne fallait pas, pour jouer les grandes âmes, se foutre à dos, fin février dernier, notre premier fournisseur de gaz. Il fallait une vision cynique, nationale, guerrière, soucieuse des plus précaires de notre pays (qui seront les premiers à souffrir des restrictions), et non de notre réputation auprès des snobinards de la diplomatie internationale.
     
     
    L’énergie, comme la défense nationale, c’est chacun pour soi ! Chaque pays, responsable de lui-même !
     
     
    Ceux qui, depuis vingt ans, nous ont précipités dans ces abîmes de naïveté, devront en répondre. Y compris devant le plus haut niveau de justice de notre pays. Celui qui statue sur les atteintes à la sécurité du pays.
     
     
     
    Pascal Décaillet

  • La Suisse doit retrouver la rage primitive de sa survie

     
    Sur le vif - Mercredi 20.07.22 - 09.41h
     
     
    L’imminence d’un séisme, et nos autorités, impavides, qui continuent de jouer au mikado. Et nos médias, bobos branchés, qui nous inondent de puissantes questions « sociétales ».
     
    Il y a un problème en Suisse, c’est l’approvisionnement en gaz et électricité pour l’hiver prochain. Il doit être traité en absolue priorité. Cabinet de guerre. Objectifs clairement définis. Défense des intérêts supérieurs de la nation. Sans le moindre état d’âme. Sans ramener la morale. Sans souci pour notre image, notre réputation à l’extérieur, dans les cocktails diplomatiques. La Suisse doit retrouver la rage primitive de sa survie.
     
    La cohésion nationale est en danger. En cas de pénurie, ce sont les plus précaires de nos compatriotes qui grelotteront le plus dans l’ombre. La gauche bobo s’en soucie comme d’une guigne, elle qui nous a précipités, tête baissée, dans l’abandon du nucléaire, puis dans les « sanctions » contre notre premier fournisseur de gaz !
     
    Retour immédiat au nucléaire. Mise à la retraite immédiate de ceux qui, au plus haut niveau, nous ont jetés dans l’impasse. Obligation, pour ceux qui gèrent les barrages, à un certain niveau d’eau. Subordination de notre politique étrangère à nos impératifs d’approvisionnement. On ne la ramène pas sur tous les conflits du monde : on construit la politique sur les intérêts supérieurs de la population suisse.
     
    Ai-je été assez clair ?
     
     
    Pascal Décaillet
     
     
     
     

  • La politique, ça n'est ni la morale, ni le Café du Commerce !

     
    Sur le vif - Mardi 19.07.22 - 06.39h
     
     
    Deux conseillers fédéraux porteront une écrasante responsabilité, en cas de pénurie énergétique, l’hiver prochain.
     
    Simonetta Sommaruga, pour son appréhension angélique et militante des affaires énergétiques, qui exigent au contraire une vision pragmatique et stratégique de survie des nôtres. C’est d’ailleurs la mission du Conseil fédéral : l’intérêt supérieur, non du monde, non d’une quelconque morale, mais DE LA SUISSE ET DES SUISSES.
     
    Ignazio Cassis, qui s’est empressé de s’aligner sur les sanctions de l’Union européenne, se mêlant ainsi d’un conflit impliquant notre premier fournisseur de gaz, pays ami de la Suisse, qui désormais nous a inscrits sur sa liste rouge. Bien joué, M. Cassis, quelle habileté, Talleyrand et Metternich peuvent se retourner dans leurs tombes !
     
    En vous précipitant, tête baissée, vous avez embrassé une vision de Café du commerce, moraliste : la haute politique, désolé M. Cassis, ça n’est justement pas cela. Vous avez cherché à plaire : en politique, c’est une faute. Vous n’êtes pas là pour vous faire bien voir à l’extérieur du pays, mais pour défendre les INTÉRÊTS SUPÉRIEURS DE LA SUISSE.
     
    Si nos concitoyennes et concitoyens souffrent, l’hiver prochain, il faudra des conséquences immédiates sur les autorités qui nous auront amenés là. Il ne sera évidemment pas question que le peuple suisse laisse s’opérer, comme si de rien n’était, l’impassible horlogerie de la réélection du Conseil fédéral, par un corps intermédiaire soucieux de ne surtout rien déranger, en décembre 2023.
     
     
    Pascal Décaillet