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Sur le vif - Page 453

  • Entre rêve et néant, la nation !

     
    Sur le vif - Mardi 05.11.19 - 10.20h
     
     
    Chaque nation ne doit compter que sur elle-même. Le multilatéralisme, c'est du rêve, du château de cartes, de la grande illusion. Dès que vient poindre le premier vent contraire, le trompe l'œil multilatéral s'effondre. Et nous laisse découvrir la vérité nue de chaque nation, seule, livrée à elle-même.
     
    Chaque nation doit, en absolue priorité, s'occuper d'elle-même. Sa cohésion sociale, son souci des plus démunis, sa fraternité interne, la rendront forte pour assumer la solitude de son destin, au milieu des mensonges des puissants, des diplomates, de tous ces gens qui nous sourient par beau temps, et ne manqueront pas de nous étouffer lors de la tempête.
     
    Chaque nation doit trouver en elle-même, dans son génie propre, dans son Histoire, son narratif à elle, dans les récits qui forgent sa communauté d'appartenance, les ressorts de sa survie. Car il s'agit de survivre, ou mourir.
     
    N'accordons aucune foi à la pieuvre internationale. Souvenons-nous de la SDN. Souvenons-nous d'Adrien Deume, qui taillait ses crayons, dans la Genève internationâââle. Souvenons-nous du Traité de Versailles, signé par les mêmes hommes qui, la même année, lançaient à Genève la Société des Nations.
     
    Le Traité de Versailles, totalement ignoble à l'endroit du peuple allemand, cause première de l'essor du nazisme dans les années vingt, puis de sa prise de pouvoir le 30 janvier 1933.
     
    Et on ose commémorer le Traité de Versailles ! Et on ose commémorer la fondation de la SDN !
     
    Ne rien attendre de la toile internationaliste, menteuse et furtive. Tout attendre de soi-même. De son caractère propre. De ses fureurs internes, de ses révoltes. Et aussi de la puissance, fondatrice, poétique, libératrice, de nos rêves.
     
     
    Pascal Décaillet
     
     
     

  • Poids et mesures

     

    Sur le vif - Lundi 04.11.19 - 16.52h

     

    Si Genève appliquait autant de rigueur aux multinationales, aux opérateurs de transactions financières dénuées de tout contrôle, aux usuriers de grand luxe, boursicoteurs et traficoteurs de tout poil, qu'aux taxis et aux bistroquets, nous aurions un peu moins l'impression, peut-être, d'une extrême sévérité pour faire trinquer les petits, et d'une si grand mansuétude face aux puissants.

     

    Pascal Décaillet

     

     

  • D'abord les nôtres !

     

    Sur le vif - Dimanche 03.11.19 - 10.39h

     

    Pas un seul centime pour un "fonds de cohésion" de l'Union européenne", ni pour quantité de plaisanteries internationales, tant que nous avons des Suisses, et notamment des retraités, sous le seuil de pauvreté !

    Une communauté nationale a pour mission première, impérative, de s'occuper des siens. Sa cohésion sociale, à l'interne, la solidarité qu'elle organise entre ses membres, priment sur l'image face à une "communauté internationale" qui n'est qu'une fiction, et se dissout à la première difficulté.

    La "communauté internationale" n'existe pas. La nation existe. C'est déjà un début, dans la vie, d'exister.

     

    Pascal Décaillet