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Sur le vif - Page 452

  • La connerie alternée, ça existe, aussi ?

     

    Sur le vif - Mercredi 06.11.19 - 15.16h

     

    Emmerder au maximum les automobilistes, leur compliquer la vie, leur balancer de nouvelles taxes et réglementations, tout cela pour plaire à l'idéologie Verte à la mode, telle est la politique du Conseil d'Etat genevois.

    Car la mesure annoncée aujourd'hui, pudiquement appelée "circulation différenciée", brille par son aspect antisocial. Si vous êtes riche, et que vous avez les moyens d'avoir constamment une voiture neuve, pour la simple raison que vous changez tous les deux ans, vous pourrez arborer le macaron du vainqueur. Si vous êtes pauvre, ou tout au moins de cette classe moyenne qu'on n'en finit plus de tondre, et que vous traînez affectueusement, depuis des années, votre bonne vieille bagnole, à vous le macaron du maudit. L'exemple même de mesure Verte antisociale. Plaire à l'esprit du temps, faire trinquer les braves et honnêtes gens.

    Le plus fou, c'est que le ministre de la Mobilité est issu d'un parti de l'Entente. Est-il définitivement passé à gauche ? Son surmoi est-il tétanisé par l'idée de ne surtout pas déplaire à la mode Verte ?

    Genève nous propose là ce qu'il y a de pire. Une mesure voulue et pensée par des bobos, qui ont les moyens de s'offrir le beau macaron, ou l'urbaine félicité de la "mobilité douce", au détriment de toute une classe moyenne qui n'en peut plus. Et qui, un jour, bien plus tôt que vous ne le pensez, se révoltera.

     

    Pascal Décaillet

     

     

  • Marre des "collectifs" !

     

    Sur le vif - Mardi 05.11.19 - 15.57h

     

    Je n'en peux plus d'entendre parler de tous ces "collectifs", dont 99,999 % sont à gauche, dont on se demande quelle est la légitimité, et dont certains, en plus, sont subventionnés !

    N'importe quelle escouade de camarades peut, de nos jours, à tout moment de la journée ou dans le bleu d'une nuit d'ivresse, fonder un "collectif". Nul statut. Nulle inscription dans un registre, comme on l'exige d'une société, ou même d'une association. Nulle preuve de représentativité. Quelques soudards suffisent.

    Et on gueule, dans la rue. Et on brandit des pancartes. Et on s'autoproclame. Et on confond la rue, le caniveau parfois aussi, avec la démocratie.

     

    Pascal Décaillet

     

     

  • L'indécence d'un excédent

     

    Sur le vif - Mardi 05.11.19 - 13.32h

     

    20 milliards d'excédent pour les assurances sociales en Suisse ! Et un capital de quelque 1000 milliards ! Et des milliers de retraités qui n'arrivent pas à tourner, parce qu'ils touchent le minimum de la rente !

    Dès lors, deux possibilités : soit on fait, très vite, un geste pour les plus défavorisés, notamment parmi les rentiers AVS. Soit on envisage une diminution des cotisations. Faut-il rappeler qu'un indépendant paye seul la totalité de ses cotisations AVS. Et de sa future retraite. Le saviez-vous, cela, Mesdames et Messieurs les fonctionnaires, tiens genevois, par exemple ?

    Dans les deux cas, ça exige une classe politique qui se bouge. Se montre sensible à la souffrance de nos compatriotes. Et consacre sa législature 2019-2023, à Berne, à d'autres priorités que la mode véhiculée par les bobos climatiques.

    Les classes moyennes sont tondues, en Suisse. Et les assurances sociales ne savent plus que faire de leurs milliards !

     

    Pascal Décaillet