Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Sur le vif - Page 212

  • L'Etat qui nous plume et nous fait les poches, ça suffit !

     
    Sur le vif - Mercredi 20.10.21 - 07.45h
     
     
    Bravo à l’UDC et au MCG, dont l’initiative sur l’imposition des véhicules à moteur permet un moratoire (tant qu’elle n’est pas votée) sur le projet délirant du Conseil d’Etat de faire encore plus les poches des classes moyennes genevoises !
     
    Plus un seul centime d’impôt supplémentaire, ni de taxe, ni d’une quelconque trouvaille prédatrice de l’exécutif, ne doivent être acceptés, tant que l’Etat n’aura pas drastiquement réduit son propre train de vie.
     
    La droite est, si elle le veut, nettement majoritaire au Parlement, ne parlons pas du peuple. La folie dépensière du Conseil d’Etat, ça suffit. La Sainte Alliance de la Finance et du Climat pour plumer les classes moyennes, ça suffit. Les états-majors pléthoriques du DIP, ça suffit. Le clientélisme de gauche en Ville, ça suffit. Les plans de relance à coups de milliards, délires théoriques de bobos urbains, ça suffit.
     
    L’argent de l’Etat, c’est celui du peuple. Chaque centime compte. Les classes moyennes n’en peuvent plus, elles étouffent. Le temps de la rigueur, de la saine gestion et de l’austérité est venu.
     
     
    Pascal Décaillet
     

  • Un casting parfait

     
    Sur le vif - Mardi 19.10.21 - 15.39h
     
     
    Je ne crois pas du tout que la personne, au demeurant sympathique et intelligente, que Genève a vue apparaître dans le jeu politique à la faveur de l'élection complémentaire de ce printemps, soit arrivée là par hasard.
     
    Je crois que l'hypothèse de son irruption, dans certains milieux, était pesée depuis longtemps. Ensuite, il y a eu l'occasion, ce que les Grecs appellent le kaïros : la démission de Pierre Maudet. Donc, la possibilité pour la gauche de conquérir la majorité gouvernementale. Elle y est parvenue. Tant mieux pour elle.
     
    Mais la personne qui a remplacé le démissionnaire n'est pas une passante de hasard. Il fallait une typologie bien précise pour incarner la Sainte Alliance entre le Climat et la Finance. Le profil sorti des urnes est idéal.
     
    Maintenant, le casting est au point. La "transition écologique" à 5,9 milliards, prête à être mise en oeuvre. Plus qu'à actionner la propagande idéologique nécessaire, mélange de leçons de morale climatique et de mises sous pression, au nom de "l'urgence".
     
    Pour le financement de cette folie dépensière, la gauche (à qui je pose la question tous les soirs, inlassablement) est très claire : ce sera soit par l'impôt, soit par l'emprunt. Dans les deux cas, les contribuables et leurs enfants trinqueront.
     
     
    Pascal Décaillet

  • Finance et Climat : la Sainte Alliance

     
    Sur le vif - Mardi 19.10.21 - 09,03h
     
     
    Derrière le mantra « transition écologique », dont nous gave la majorité gouvernementale de gauche à Genève, il y a de colossaux intérêts financiers.
     
    L’Etat n’a plus un sou. Il détient, avec 12,8 milliards, le record de la dette en Suisse. Et il veut dépenser 5,9 milliards pour la « transition écologique » !
     
    Cet argent, il va le prendre où ? Il va continuer d’emprunter auprès de banques privées. Il a donc besoin de ces milieux comme alliés.
     
    Eh oui ! Des gens « de gauche » (oh, une gauche qui a perdu depuis longtemps tout contact avec le monde ouvrier, ou même n’en a jamais eu) s’apprêtent à nous tricoter, à Genève, la Sainte Alliance pour le Climat, avec le monde de la grande finance.
     
    Les uns se maintiendront au pouvoir en nous faisant miroiter des projets pharaoniques, au titre de la « transition ». Les autres auront l’intense jouissance d’être les créanciers du Prince. Ceux qui, dans l’ombre, le tiennent. En clair, le vrai pouvoir.
     
    Le coup qu’on nous prépare, c’est la coalition des libéraux et des libertaires. Tout ce petit monde a infiniment intérêt à un débat public inondé de « sujets de société ». Ça évitera aux classes moyennes, le soir après le turbin, de se casser la tête sur les sujets lourds qui pourtant la concernent : fiscalité étouffante sur le travail, primes maladie, prix de l’essence et des combustibles, prix des médicaments, prix des soins médicaux et dentaires, pouvoir d’achat, pénurie dans l’approvisionnement en matières premières et en électricité.
     
    On se contentera de distraire le Gueux avec des questions liées au genre, à la couleur de la peau, à la vie privée des starlettes. Et on signera dans son dos les contrats d’emprunt massif, donc d’endettement alourdi pour les générations futures.
     
     
    Pascal Décaillet