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  • Le peuple suisse. Et lui-seul !

     
    Sur le vif - Jeudi 02.03.23 - 15.06h
     
     
    Les élus qui veulent juste plaire à l'internationale, juste jouer l'image, organisent la trahison des clerc. Ce sont des snobinards de salons, tout juste bons pour les courbettes mondaines.
     
    Nous, les citoyennes et citoyens, plaçons au centre de tout les intérêts supérieurs du peuple suisse. Et de lui-seul !
     
    D'abord, les nôtres ! D'abord, notre cohésion sociale, à l'interne. D'abord, former nos jeunes, puis leur offrir des emplois ! D'abord, la fiscalité des classes moyennes ! D'abord, le pouvoir d'achat pour tous ! D'abord, un système de santé juste et performant ! D'abord, notre souveraineté suisse, comme nation indépendante. D'abord, une défense nationale efficace et moderne !
     
    Après, APRÈS SEULEMENT, si vraiment nous n'avons rien d'autre à foutre, en guise de salamalecs, nous nous soucierons de plaire à l'étranger.
     
     
    Pascal Décaillet

  • Zigomars

     

    Commentaire publié dans GHI - Mercredi 01.03.23

     

    Coûts de la santé, retraites, mouvements migratoires, approvisionnement en énergie : le sondage national Tamedia, publié ce lundi 27 février, est sans appel. Il rétablit enfin les vraies préoccupations de nos compatriotes, en Suisse, dans un ordre qui n’a rien à voir avec la mode sociétale, celle des bobos, des chercheurs en sciences sociales de l’Université de Lausanne, omniprésents dans nos médias de Suisse romande, ou du grand Marais centriste qui prétend abolir la gauche et la droite.

     

    Prenez les migrations. Il existe encore une bande de zigomars, en Suisse, qui refusent tout débat sur le sujet. Il faudrait le taire. Enterrer la décision du peuple et des cantons, le 9 février 2014, sur l’immigration de masse. S’étouffer de silence, dès qu’un commensal, dans un banquet, s’aventure à évoquer les problèmes posés à notre pays par une pression migratoire trop forte. Bref, il faudrait noyer le problème. Et se la coincer.

     

    Eh bien cher amis, ça n’est pas mon genre. Les problèmes, on en parle. Toutes les opinions ( je dis bien : toutes), on les laisse s’exprimer. La colère du peuple face à la trahison des clercs, on ne l’empêche pas de surgir. Le bobo douillet, on lui apprend à vivre. Les belles voix graves, noires de fureur, on les laisse poindre. On ne censure pas. Les gens qui se lèvent le matin pour aller bosser, triment toute leur vie, ne parviennent pas à mettre un sou de côté, on les laisse gueuler, eux aussi. Et cette fois, enfin, on les écoute. Bonne semaine !

     

    Pascal Décaillet 

     

  • La raison du plus fort

     
    Sur le vif - Mercredi 01.03.23 - 16.32h
     
     
    Je n'ai jamais cru, une seule seconde, au "droit international".
     
    Il n'existe pas de droit international. La politique est un rapport de forces, d'une violence inouïe. Elle l'est à tous les niveaux, parce qu'elle implique le jeu du pouvoir entre les humains, dans toute sa noirceur.
     
    On a commencé à parler de "droit international", surtout, à partir de 1919, après l'horreur absolue de la Grande Guerre. Ce fut Versailles, la loi du vainqueur, la folie d'un Clemenceau qui imposa (contre Wilson) à l'Allemagne des "Réparations" dont on connaît les conséquences. On a fondé la SDN, dont on a pu savourer l'efficacité.
     
    On nous a gargarisés de "droit international" depuis 1945. En réalité, un édifice occidental, satellitaire à l'hégémonie des Etats-Unis d'Amérique.
     
    On nous a bassinés de "droit international" pendant toutes les Guerres balkaniques, dans les années 1990. En vérité, la Pax americana ! Sur les bancs des accusés, toujours les Serbes. Il fallait un alibi judiciaire pour justifier la création d'un Grand Méchant par Washington, qui voulait juste avancer ses pions économiques (et énergétiques !) dans les Balkans.
     
    Il n'existe pas de "droit international". Il n'existe, comme dans la fable du loup et de l'agneau, que la raison du plus fort.
     
     
    Pascal Décaillet