Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Sur le vif - Page 1160

  • Et maintenant, Madame Maury Pasquier!

    Après Fabienne Bugnon, c’est maintenant Liliane Maury Pasquier qui décide de « débloguer ». Qu’on partage ou non ses options, voilà donc, une nouvelle fois, une femme de valeur, conseillère aux Etats brillamment élue, qui, lassée d’un flot de commentaires « isolés et désolants », préfère quitter le terrain.

     

    Comme je l’ai fait (sans succès, malheureusement) pour Fabienne Bugnon, je demande à Liliane Maury Pasquier de rester. Surtout ne pas partir. Surtout ne pas donner raison aux lâches, aux anonymes, aux pseudonymés masqués qui semblent n’avoir nulle autre occupation que d’insulter tout le monde. Nul texte original, jamais, nulle idée propre. Juste parasiter celles des autres. Reprendre une partie de leur texte – vieux réflexe de prof – le mettre en exergue, le démolir. Ce ne sont pas des blogueurs, mais des métablogueurs, des punaises ne vivant que du sang et de la sève des autres.

     

    J’ai, pour ma part, dès les premiers jours, posé trois conditions à la publication de commentaires sur mon blog :

     

    1) Aucune insulte.

     

    2) Rester dans le sujet traité par mon papier initial.

     

    3) Signer. Cela signifie un nom et un prénom.

     

    Un blog qui se saborde, a fortiori celui d’une éminente personnalité publique, c’est, à chaque fois, une micro-victoire pour le fatras et le fracas des crapoteux. Madame Maury Pasquier, je vous demande de rester.

     

     

     

     

  • Leipzig, les Saxons, le PDC

    Leipzig, 16 au 19 octobre 1813… La plus grande de toutes les batailles… La « bataille des nations »… « Völkerschlacht »… Là est née l’idée de nation allemande, déjà bien chauffée, pendant l’occupation française de la Prusse, par les extraordinaires conférences de Fichte, à Berlin… « Reden an die deutsche Nation »…

     

    Leipzig, amer souvenir pour l’Empereur… Leipzig, où les Saxons ont trahi… Cassée, l’allégeance à la France… La trahison des Saxons, tout un thème, un programme…

     

    Je ne sais pas pourquoi, sans doute l’engourdissement dû au froid glacial de cette précoce attaque de l’hiver, mais tout cela me fait penser - un peu - à la démocratie chrétienne…

  • Madame Bugnon, ne partez pas!

    Madame Bugnon, ne partez pas. De grâce, ne faites pas ce cadeau aux quelques cafards de soupirail qui profitent de l’anonymat des blogs (que j’ai vertement dénoncé dans un commentaire du Matin dimanche, le 26 novembre 2006) pour suinter l’injure et l’invective.

     

    Sans être ni Vert, ni exagérément féministe, je respecte infiniment ce que vous êtes. Votre voix, votre sensibilité, votre intelligence doivent demeurer sur la toile des blogs.

     

    Pour ma part, j’ai posé trois conditions à la publication des commentaires sur mon blog :

     

    1) Aucune insulte. Je refuse même la familiarité, le tutoiement, sauf de la part de ceux qui je tutoie dans la vie.

     

    2) On peut tout dire, mais en le signant. Il y a deux ou trois mandrins d’arrière-bosquet qui fleurent à plein nez la pestilence d’un pseudonyme, ou d’une anagramme que, passionné de lettres, je décèle assez vite.

     

    3) Le commentaire doit porter sur le sujet traité dans mon billet.

     

    A partir de là, ces trois conditions respectées, liberté totale. Que volent, fusent et s’entrechoquent les idées !

     

    Madame Bugnon, je vous demande de rester. Si les gens de qualité laissent ce bel espace de libre expression aux professionnels de l’opprobre et de l’insulte, c’est l’univers éditorial dans son entier qui s’en trouvera appauvri.