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  • Le Régent

     
    Sur le vif - Jeudi 24.11.22 - 14.58h
     
     
    Au lieu de nous bombarder de menaces de coupures d’électricité « en cas de pénurie », M. Parmelin serait bien inspiré de commencer par faire son boulot : tout entreprendre pour garantir l’approvisionnement. C’est ça, le job du Conseil fédéral !
     
    Le Vaudois entend-il devenir le Berset de la crise énergétique, maître d’école, chargé de cours à l’école ménagère, moraliste en chef, et père fouettard ? D’où vient, chez les conseillers fédéraux romands, cette passion de régenter ?
     
    Si ça continue, on va lui couper la lumière dans son bureau. Pour peu qu’il y en ait.
     
     
    Pascal Décaillet

  • Sauver le MCG : trop tard !

     
    Sur le vif - Mercredi 23.11.22 - 16.13h
     
     
    Hallucinant, le vote de la Commission des finances, qui va plus loin que le Conseil d'Etat dans la générosité avec les fonctionnaires ! Une majorité gauche/MCG, purement électoraliste, indifférente aux deniers du contribuable. Nathalie Fontanet a de quoi être furieuse.
     
    Le MCG, décidément plus à gauche que la gauche, lorsqu'il s'agit de se bichonner une clientèle électorale dans la fonction publique. Ce parti, naguère flamboyant de plèbe et d'opposition, n'est plus que l'ombre de lui-même. Faudra-t-il envoyer une délégation aux Mayens d'Arbaz pour sauver la mise ? Non, il ne faudra pas : c'est trop tard.
     
    Ce parti n'a plus aucune lisibilité. C'est aussi simple que cela.
     
     
    Pascal Décaillet

  • Baisse d'impôts

     

    Commentaire publié dans GHI - Mercredi 23.11.22

     

    « Baisse d’impôts » : Nathalie Fontanet, en direct mardi 15 novembre à Genève à chaud, a lancé sa campagne, avec ces trois mots. Dans un contexte explosif, elle a osé le bouton rouge. Femme de droite, ministre des Finances, minoritaire dans un gouvernement de gauche depuis un an et demi, la seule survivante du PLR au Conseil d’Etat donne le ton. La doxa de la gauche, qui ne jure que par l’impôt, elle l’attaque de front. Et elle a mille fois raison.

     

    Dans la même émission, Nathalie Fontanet confirme le chiffre qui circule à Genève, et qui tient du scandale : 36% des habitants, en âge d’être fiscalisés, ne payent pas d’impôts. La baisse annoncée par la ministre-candidate touche donc les 64% que nous sommes, nous les classes moyennes, nous les gens qui bossons dur, gagnons notre vie, mais n’en pouvons plus de la strangulation fiscale. La majorité silencieuse.

     

    Alors oui, il fallait appuyer sur le bouton rouge. Il fallait oser dire « baisse d’impôts », affronter enfin de face les collègues de gauche au Conseil d’Etat, également candidats. On respire, on laisse monter en soi l’énergie du combattant, on attaque. C’est cela, la politique. N’appelle-t-on pas cela « une campagne » ? Comme celles « d’Italie, de Prusse ou d’Espagne », chez Brassens.

     

    Que les classes moyennes ne se trompent pas. On paye beaucoup trop d’impôts sur le revenu à Genève, celui sur le fruit de notre travail, notre sueur. Il faut en payer moins. Et que l’Etat, tentaculaire et dépensier, se redimensionne et freine sa voracité. C’est aussi simple que cela. Et cela tient en trois mots : baisse d’impôts.

     

    Pascal Décaillet