Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 4

  • La Suisse doit retrouver la rage primitive de sa survie

     
    Sur le vif - Mercredi 20.07.22 - 09.41h
     
     
    L’imminence d’un séisme, et nos autorités, impavides, qui continuent de jouer au mikado. Et nos médias, bobos branchés, qui nous inondent de puissantes questions « sociétales ».
     
    Il y a un problème en Suisse, c’est l’approvisionnement en gaz et électricité pour l’hiver prochain. Il doit être traité en absolue priorité. Cabinet de guerre. Objectifs clairement définis. Défense des intérêts supérieurs de la nation. Sans le moindre état d’âme. Sans ramener la morale. Sans souci pour notre image, notre réputation à l’extérieur, dans les cocktails diplomatiques. La Suisse doit retrouver la rage primitive de sa survie.
     
    La cohésion nationale est en danger. En cas de pénurie, ce sont les plus précaires de nos compatriotes qui grelotteront le plus dans l’ombre. La gauche bobo s’en soucie comme d’une guigne, elle qui nous a précipités, tête baissée, dans l’abandon du nucléaire, puis dans les « sanctions » contre notre premier fournisseur de gaz !
     
    Retour immédiat au nucléaire. Mise à la retraite immédiate de ceux qui, au plus haut niveau, nous ont jetés dans l’impasse. Obligation, pour ceux qui gèrent les barrages, à un certain niveau d’eau. Subordination de notre politique étrangère à nos impératifs d’approvisionnement. On ne la ramène pas sur tous les conflits du monde : on construit la politique sur les intérêts supérieurs de la population suisse.
     
    Ai-je été assez clair ?
     
     
    Pascal Décaillet
     
     
     
     

  • La politique, ça n'est ni la morale, ni le Café du Commerce !

     
    Sur le vif - Mardi 19.07.22 - 06.39h
     
     
    Deux conseillers fédéraux porteront une écrasante responsabilité, en cas de pénurie énergétique, l’hiver prochain.
     
    Simonetta Sommaruga, pour son appréhension angélique et militante des affaires énergétiques, qui exigent au contraire une vision pragmatique et stratégique de survie des nôtres. C’est d’ailleurs la mission du Conseil fédéral : l’intérêt supérieur, non du monde, non d’une quelconque morale, mais DE LA SUISSE ET DES SUISSES.
     
    Ignazio Cassis, qui s’est empressé de s’aligner sur les sanctions de l’Union européenne, se mêlant ainsi d’un conflit impliquant notre premier fournisseur de gaz, pays ami de la Suisse, qui désormais nous a inscrits sur sa liste rouge. Bien joué, M. Cassis, quelle habileté, Talleyrand et Metternich peuvent se retourner dans leurs tombes !
     
    En vous précipitant, tête baissée, vous avez embrassé une vision de Café du commerce, moraliste : la haute politique, désolé M. Cassis, ça n’est justement pas cela. Vous avez cherché à plaire : en politique, c’est une faute. Vous n’êtes pas là pour vous faire bien voir à l’extérieur du pays, mais pour défendre les INTÉRÊTS SUPÉRIEURS DE LA SUISSE.
     
    Si nos concitoyennes et concitoyens souffrent, l’hiver prochain, il faudra des conséquences immédiates sur les autorités qui nous auront amenés là. Il ne sera évidemment pas question que le peuple suisse laisse s’opérer, comme si de rien n’était, l’impassible horlogerie de la réélection du Conseil fédéral, par un corps intermédiaire soucieux de ne surtout rien déranger, en décembre 2023.
     
     
    Pascal Décaillet

  • Energie : les incompétents et les idéologues, dehors !

     
    Sur le vif - Lundi 18.07.22 - 12.26h
     
     
    Reprise immédiate du nucléaire, en se tournant vers l’avenir, et les centrales de toute nouvelle génération. Mise à la retraite immédiate des politiciens qui nous ont amenés, par pure idéologie militante, à l’impasse énergétique que nous allons connaître l’hiver prochain, à commencer par le plus haut niveau, celui du Conseil fédéral. Mais aussi, certains ministres cantonaux de l’Energie. Mais encore, certains directeurs idéologues de services d’approvisionnement et de distribution. Changement radical de vision, sur l’ensemble du pays. Rupture sans appel avec les sectaires et les millénaristes, qui nous conduisent à la catastrophe.
     
    Un seul impératif : l’approvisionnement de la Suisse. Toutes sources d’énergie confondues. Sans le moindre a priori moral, ni idéologique. Vision de survie, uniquement stratégique, pragmatique. D’abord, les intérêts supérieurs de notre pays, de ses habitants. Au besoin, mise en place de procédures judiciaires contre les idéologues qui nous ont amenés là. Atteinte à la sécurité de la nation.
     
    Mon père a fait partie de la génération d'ingénieurs qui ont contribué à construire des barrages, puis des canalisations et tunnels collecteurs tissant, dans la montagne alpine, des liens entre les différents réseaux et turbines. Ce travail titanesque, ils l'ont accompli dans un esprit national : ils avaient vécu la guerre, ils savaient ce que signifie l'impératif absolu d'auto-approvisionnement. Cette oeuvre extraordinaire, ils ne l'ont pas engagée pour qu'une bande d'idéologues abstraits vienne aujourd'hui la saccager : ces prédicateurs verdâtres, qui croient à la "communauté internationale", et à la gentille solidarité entre nations, n'y connaissent strictement rien !
     
    L’énergie, comme la défense nationale, relève des intérêts stratégiques supérieurs du pays. Elle ne saurait accepter nulle trahison interne, nulle incompétence, nul flottement de mollesse. Elle exige, de la part du pays tout entier, un esprit de tension, de guerre, de combat. Rien d’autre à dire.
     
     
    Pascal Décaillet