Sur le vif - Jeudi 28.11.24 - 14.33h
Ces belle âmes qui réclament à longueur de journées une "aide publique à la presse", en clair de l'argent des contribuables pour, on se demande en quel honneur, sauver des journaux, on aimerait un peu les entendre sur l'aide à l'industrie de l'acier, autrement vitale pour notre souveraineté. Sur l'aide à la métallurgie en Suisse. Sur l'aide à la sidérurgie. Sur l'aide à la production agricole. Sur l'aide concrète aux personnes âgées, complètement larguées par la fracture numérique. Sur l'aide à la formation des jeunes. Sur le prix des soins dentaires. Sur le prix des médicaments.
Mais non. Il ne saisissent l'écho du monde que pour leur propre cause. Avec la complicité des baronnies de gauche, dans les villes notamment, qui ne brandissent "l'aide à la presse" que pour mieux la contrôler idéologiquement. La manœuvre est tellement visible, la ficelle tellement énorme, qu'elle n'échappe à personne.
Entrepreneur depuis 19 ans, n'ayant jamais emprunté un seul centime pour lancer ni financer mon entreprise, n'ayant jamais réclamé le moindre centime de subvention, citoyen actif et passionné de la vie publique de mon pays, je dis "Pas un seul centime d'argent public pour l'aide à la presse" !
Pas une seul centime !
Pascal Décaillet