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  • Rafraîchissant, non ?

     
    Sur le vif - Dimanche 05.02.23 - 13.36h
     
     
    Donald Trump : quatre ans, zéro guerre, des relations diplomatiques avec la Chine et la Russie, des recherches de solutions politiques, la priorité sur l'Amérique intérieure, le redressement de son économie, la modernisation de ses infrastructures.
     
    Joe Biden : deux ans, la guerre partout, l'escalade face à la Russie, l'extrême tension avec Pékin, le bellicisme et l'impérialisme américains à leur paroxysme. La caricature du Président démocrate, va-t-en guerre, moraliste, donneur de leçons à la terre entière.
     
    Nos bons médias, nos bons chroniqueurs, nos bons éditorialistes, à commencer par la RTS et le Temps : tous contre Trump, tous pour Joe.
     
    Rafraîchissant, non ?
     
     
    Pascal Décaillet

  • Trahison

     
    Sur le vif - Samedi 04.02.23 - 09.27h
     
     
    Les mesures annoncées ce matin par la TG, sur la circulation automobile à Cornavin, sont une déclaration de guerre, d’une violence inouïe, à la circulation privée motorisée. En l’état, rien ne les justifie. Elles doivent être massivement combattues, par tous les moyens possibles.
     
    L’ampleur de la trahison de son camp politique, par ce ministre, est sans précédent. La droite genevoise, la vraie, a non seulement raison de couper tout lien avec le Marais improbable, qui soutient béatement toutes les forfaitures de son magistrat, mais elle doit se lever. Et réagir. Avec ampleur, courage et fracas.
     
     
    Pascal Décaillet

     
  • Dire ce qui fut. Pas ce qui plaît

     
    Sur le vif - Jeudi 02.02.23 - 15.27h
     
     
    Désolé si je jette un froid dans la niaiserie, l'inculture historique, et le wokisme ambiants, mais la statue de Staline a totalement sa place, dans la ville qui naguère porta son nom, le jour du 80ème anniversaire de la grande victoire qui fut (en tous cas dans les consciences mondiales ; militairement, ce fut plutôt Koursk, en juillet 43), le tournant de la Seconde Guerre mondiale.
     
    Bien sûr, Staline fut un dictateur. Bien sûr, il porte la responsabilité de millions de morts. Mais l'homme qui a incarné la résistance soviétique, et pas seulement russe, face aux nazis, ce fut lui.
     
    L'homme de la défense de Moscou, en décembre 41, ce fut lui. L'homme du coup d'arrêt à l'avance allemande à Stalingrad (2 février 1943), ce fut lui. L'homme de Koursk, ce fut lui. L'homme de la grande attaque finale (automne 44, hiver et printemps 45), ce fut lui. L'homme de la victoire sur le Troisième Reich (8 mai 1945), ce fut lui.
     
    Je ne dis pas que Staline fut bon. Je ne dis pas que Staline fut un homme présentable. Je ne dis pas que Staline est ma tasse de thé. Je dis simplement ce qui fut. Je dis les faits.
     
    Les niais, les incultes historiques, les wokistes, ne s'intéressent même pas à l'élémentaire solfège des faits. Ils passent tout de suite au jugement. La petite musique de leurs anachronismes est historiquement, sémantiquement, philosophiquement inaudible.
     
     
    Pascal Décaillet