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Bergier, on a donné, merci !

 

Sur le vif - Lundi 28.01.13 - 14.35h

 

Non, pitié, la Suisse ne va pas re-sombrer dans une période d'auto-fustigation comme celle, détestable, que nous avons vécue dans les années 90, à l'époque du Rapport Bergier.

 


Nous avons, aujourd'hui, autre chose à faire. Notre pays est en proie à de grandes difficultés avec certains de ses voisins. L'heure n'est pas à la culpabilisation interne. Bien sûr que nous n'avons pas été parfaits pendant la Seconde Guerre mondiale, qui l'a été ? Bien sûr que nous avons des choses à nous reprocher. Mais enfin, en comparaison avec nos chers voisins, je ne suis pas certain que le comportement de la Suisse entre 1939 et 1945 soit le sujet principal de cette guerre.



L'heure n'est pas à la coulpe. Au contraire, l'heure est à la valorisation de nos singularités, notre démocratie directe, notre fédéralisme, le respect de nos équilibres internes. Cela, aujourd'hui, doit primer sur tout: nous devons êtres fiers de notre pays.



Alors, désolé, Messieurs les ressasseurs et les salisseurs, mais vous repasserez.

 

 

Pascal Décaillet

 

 

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