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Sur le vif - Page 591

  • Radio Bobo, Radio Macron

     

    Sur le vif - Dimanche 02.09.18 - 13.10h

     

    France Inter, journal de 13h : un leader immigrationniste, interviewé en direct, ose nous sortir que les Français sceptiques sur l'arrivée massive de migrants sont "enfermés dans des territoires imaginaires".

     

    Des "territoires imaginaires" ! L'exemple le plus parfait du charabia issu de ces âmes altières qui, de leurs salons, méprisent jusqu'à la lie le sentiment que peut légitimement éprouver une partie du peuple français, face à des flux trop massifs pour être supportables, mettant en danger la cohésion sociale de la nation.

     

    Des "territoires imaginaires" : tant qu'il y est, il pourrait les traiter de fous, ces Français qui pensent faux. Proposer pour eux des traitements. Cela se fit, naguère, du côté de l'URSS.

     

    Aux "territoires imaginaires" sortis par des bobos sur des ondes publiques qui n'en peuvent plus de caresser la Macronie dans le sens du poil, le peuple de France ne tardera pas, dans les années qui viennent, à rappeler la réalité de marbre et d'airain de sa colère. Et ce mouvement-là, surgi d'en-bas, puissant, irrévocable, n'aura strictement rien "d'imaginaire".

     

    Pascal Décaillet

     

     

  • L'argument, simple et puissant

     

    Sur le vif - Samedi 01.09.18 - 10.35h

     

    Il n'y a pas, d'un côté, les partisans de la libre circulation, et de l'autre, des brutes épaisses qui voudraient fermer les frontières. Cela, c'est le prodigieux sophisme que veulent imposer les libre-échangistes. Leur posture rhétorique doit être dénoncée. Et démontée.

     

    S'opposer à la libre circulation, ça n'est évidemment pas militer pour une circulation zéro. Bien sûr qu'il faut des échanges, entre les nations ! Bien sûr que nous devons, de toute la force de nos antennes, demeurer ouverts aux cultures, aux langues, aux civilisations qui nous entourent.

     

    Simplement, chaque nation a le droit - et même le devoir, pour sauvegarder sa cohésion sociale interne - de RÉ-GU-LER les flux migratoires sur ses frontières.

     

    Réguler, ça n'est pas arrêter. C'est fixer des quotas, en fonction de ce que chaque nation, selon ses mécanismes internes de décision, estime pouvoir absorber, pour que l'immigration ne tourne pas en invasion. En Suisse, l'instance suprême de décision, ce sont le peuple et les cantons, lorsqu'ils se prononcent sur une initiative. Ce fut le cas, par exemple, le 9 février 2014.

     

    Les ennemis de la libre circulation ne sont donc en aucun cas des fermeurs de frontières, qui voudraient transformer la Suisse en bunker. Ce sont, simplement, des citoyennes et citoyens qui entendent maîtriser les flux migratoires. Non en les stoppant, mais en les RÉ-GU-LANT.

     

    Si c'est votre position, ne vous laissez plus jamais traiter de retardés isolationnistes par les immigrationnistes. Répondez-leur calmement, sans vous démonter. Le meilleur allié d'un bon argument, c'est l'argument lui-même, dans toute la puissance de sa simplicité.

     

    Pascal Décaillet

     

     

  • Tout, sauf Cohn-Bendit !

     

    Sur le vif - Vendredi 31.08.18 - 19.09h

     

    Appeler Daniel Cohn-Bendit pour devenir ministre de la République et de la nation françaises, constituerait l'ultime discrédit d'un Président en quête d'effets de mode, de cliquetis et de clinquant.

     

    Je ne parle ici - et m'en tiens rigoureusement à cela - que du profil politique arboré depuis exactement un demi-siècle par ce personnage, son mépris pour les nations et pour les frontières, son aspiration à une Europe omnipotente, sa haine de tout ce qui s'apparente à un État organisé, régalien, avec des structures, des serviteurs, un rapport à l'Histoire et à la mémoire.

     

    Pas de place pour cet asticot tutoyeur dans l'appareil d'Etat. Pas de place pour ce libertaire halluciné, égaré dans les choses de la politique. Qu'il rêve, et rêve encore, d'occuper la Sorbonne. Mais de grâce, qu'il laisse dormir la République.

     

    Pascal Décaillet