Portés par la mode et le tintamarre climatique de cet automne de folie électorale, les Verts vont marquer des points dimanche. Oui, ce parti-là, avec son insoutenable légèreté !
Certains, éternellement habités par l'attrait du pouvoir, la tiédeur courtisane, le doux zéphyr des modes, les cajolent et les encensent. Eh bien moi, au moment où ils vont pavaner, je demeure fidèle à mes valeurs. J'ose dire qu'ils ont éhontément récupéré le thème climatique pour engranger des voix, comme ils l'avaient fait avec Fukushima en 2011. Je le dis, parce que c'est tout simplement la vérité.
Parce que pour ma part, je n'ai jamais cherché, de toute ma vie, ni à être élu, ni surtout à plaire à qui que ce soit. Je dis ce que je pense, ce à quoi je crois. Et rien, ni personne, ni les censeurs, ni les millions parfumés du Grand Horloger, ni les pressions des Frères, ni les manigances des réseaux de l'ombre, ne pourront m'en empêcher.
Pascal Décaillet