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Sur le vif - Page 1148

  • Leipzig, les Saxons, le PDC

    Leipzig, 16 au 19 octobre 1813… La plus grande de toutes les batailles… La « bataille des nations »… « Völkerschlacht »… Là est née l’idée de nation allemande, déjà bien chauffée, pendant l’occupation française de la Prusse, par les extraordinaires conférences de Fichte, à Berlin… « Reden an die deutsche Nation »…

     

    Leipzig, amer souvenir pour l’Empereur… Leipzig, où les Saxons ont trahi… Cassée, l’allégeance à la France… La trahison des Saxons, tout un thème, un programme…

     

    Je ne sais pas pourquoi, sans doute l’engourdissement dû au froid glacial de cette précoce attaque de l’hiver, mais tout cela me fait penser - un peu - à la démocratie chrétienne…

  • Madame Bugnon, ne partez pas!

    Madame Bugnon, ne partez pas. De grâce, ne faites pas ce cadeau aux quelques cafards de soupirail qui profitent de l’anonymat des blogs (que j’ai vertement dénoncé dans un commentaire du Matin dimanche, le 26 novembre 2006) pour suinter l’injure et l’invective.

     

    Sans être ni Vert, ni exagérément féministe, je respecte infiniment ce que vous êtes. Votre voix, votre sensibilité, votre intelligence doivent demeurer sur la toile des blogs.

     

    Pour ma part, j’ai posé trois conditions à la publication des commentaires sur mon blog :

     

    1) Aucune insulte. Je refuse même la familiarité, le tutoiement, sauf de la part de ceux qui je tutoie dans la vie.

     

    2) On peut tout dire, mais en le signant. Il y a deux ou trois mandrins d’arrière-bosquet qui fleurent à plein nez la pestilence d’un pseudonyme, ou d’une anagramme que, passionné de lettres, je décèle assez vite.

     

    3) Le commentaire doit porter sur le sujet traité dans mon billet.

     

    A partir de là, ces trois conditions respectées, liberté totale. Que volent, fusent et s’entrechoquent les idées !

     

    Madame Bugnon, je vous demande de rester. Si les gens de qualité laissent ce bel espace de libre expression aux professionnels de l’opprobre et de l’insulte, c’est l’univers éditorial dans son entier qui s’en trouvera appauvri.

     


     

  • Un syndic inspiré

    Il y a parfois, comme cela, de minuscules mais nucléaires déclarations, denses comme un éclair d’été, qui valent tous les discours. Ainsi, tout à l’heure, au 1230h RSR, le syndic radical d’Aigle, Frédéric Borloz, résumant avec génie l’autisme de son parti en matière de communication électorale : « On s’est un peu congratulés entre nous », a-t-il bien voulu concéder.

     

    Donnez-nous dix Borloz, et le grand vieux parti est sauvé. Non, deux ou trois, ça suffira déjà. Pourvu qu’ils réapprennent à parler au peuple. En une formule, qui volera de clocher en clocher, toute de cruauté et de bonhomie mêlées, l’oracle d'Aigle a tout dit, tout résumé. Franchement, bravo.