Sur le vif - Jeudi 13.02.20 - 09.25h
Le droit de vote est indissociable de l'appartenance à la communauté nationale.
Cette dernière, indivisible, ne saurait être fragmentée en droits partiels, ou locaux, ni en une citoyenneté à la carte, ou à régime variable.
Si un étranger veut décider du destin d'un Canton ou du destin fédéral, il doit entreprendre les démarches pour se naturaliser.
Ce que je dis ici déplaît à la doxa associative, ou européiste, ou à la gauche encore mondialiste ? Ou à ceux qui, depuis plus de cinq décennies, n'en peuvent plus de nous décrire comme caduque, archaïque, l'idée de nation, au profit d'un ordre cosmopolite et multilatéral ?
Eh bien, déplaisons !
Pascal Décaillet