Quelques lignes, à vif, et en attendant la chute - Lundi 08.09.25 - 15.15h
Eh bien, n’en déplaise aux éternels persifleurs, le premier quart d’heure du discours (d’adieu ?) de Bayrou est EXCELLENT. Je l’ai dit, je le répète : il y a, en matière économique et financière, chez le Béarnais, dans son rapport à la vérité des chiffres, au pacte de confiance, une rigueur mendésiste qui frappera ceux qui ont un minimum de sens de l’Etat, de mémoire et de culture historiques. Une fois de plus, en l'écoutant, j'ai pensé à celui qui, avec tant de rectitude et de lucidité, a présidé le Conseil, entre juin 1954 et février 1955.
Pascal Décaillet