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L'anglais ? Non, merci !

 

Commentaire publié dans GHI - Mercredi 26.02.25

 

Nous avons, en Suisse, quatre magnifiques langues nationales : l’allemand, le français, l’italien, le romanche. L’anglais n’en fait pas partie. En aucun cas un document officiel, émanant de la Confédération, d’un Canton ou d’une Commune, ne doit porter un titre en anglais. En aucun cas, le Président de la Confédération, un Conseiller fédéral, un Conseiller d’Etat, ni un Maire, ne doit s’exprimer en anglais, dans une allocution officielle. L’anglais n’est pas une langue suisse.

 

Nous avons, en Suisse, de grandes régies, dont la majorité du Capital est détenue par la Confédération. En aucun cas, un document quelconque de La Poste, ni de Swisscom, ni d’aucun corps contrôlé par la Suisse fédérale, ne doit être libellé en anglais. Il n’y a strictement aucune raison pour que celle langue extracontinentale s’impose en Suisse, cœur de l’Europe, traversée historiquement, linguistiquement, religieusement, par tous les grands courants germaniques, latins, et même rhétiques. Mais pas par la langue anglaise !

 

Parler anglais en Suisse (à part, bien sûr, si on est anglophone ou international de passage, et qu’on n’a aucun autre moyen de communiquer), c’est s’aligner servilement sur la première puissance impérialiste de la planète, et peu importe qu’elle soit dirigée par Trump, Biden, Obama ou un autre. Non, non et non ! Parlons français. Parlons allemand. Parlons italien. Parlons romanche. Soyons suisses. Et fiers de nos racines.

 

Pascal Décaillet

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