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Tiédeur exclue !

 

Commentaire publié dans GHI - Mercredi 10.01.24

 

Aux dernières élections fédérales, moins d’un Suisse sur dix a voté pour les Verts. Alors que près de trois Suisses sur dix ont voté pour l’UDC. C’est un fait. C’est ce qu’a voulu le peuple souverain de notre pays. Plus généralement, la droite a gagné du terrain, comme à Genève, lors des élections cantonales du printemps 2023.

 

Au sein de cette droite gagnante, ça n’est pas la famille libérale, libre-échangiste, européiste, qui a pris l’avantage. Non, c’est une autre droite, patriote, nationale, soucieuse de cohésion, simple, populaire, joyeuse. Une droite souverainiste, qui veut une Suisse indépendante et neutre, dotée d’une défense nationale crédible, amie de tous, mais décidant seule de son destin. C’est si difficile à comprendre ?

 

Une élection fédérale n’est pas un sondage. C’est une décision du souverain. Il convient donc de l’appliquer. La transformer en actes, qui soient conformes à cette volonté du peuple. Intransigeance sur la souveraineté nationale. Contrôle draconien des flux migratoires. Application de l’initiative acceptée le 9 février 2014, contre l’immigration de masse. Préférence nationale.

 

Tout cela doit être rappelé. Parce que nos chers élus ont une insupportable tendance à oublier leurs promesses électorales, et, sous prétexte de « consensus », se faire des cadeaux mutuels, en vue d’un mielleux centrisme final, plus tiède que le renoncement. Et cela, nous ne le voulons à aucun prix.

 

Pascal Décaillet

 

Commentaires

  • Il y a bien évidemment des raisons politiques à l’échec électoral des écologistes. On notera tout particulièrement leur discours pontifiant, donneur de leçons et dénué de toute autre vision que celle de la punition par le biais d’impôts ou d’interdictions de toutes sortes.
    Mais pour autant, les problèmes climatiques sont bien réels et font d’ailleurs partie des préoccupations des citoyens de ce pays.
    Dès lors, il devrait bien y avoir de la place pour un débat politique sensé sur ces questions, non? Par débat sensé, il faut entendre des réflexions allant au-delà de ce reflexe très helvétique qui, lorsque l’on parle de changement, ramène toujours aux coûts (toujours trop élevés, évidemment). Lorsque l'on sait que nous vivons dans l'un des pays les plus riches du monde, ce genre d'argument est affligeant.
    Ce serait une évolution bienvenue dans un débat politique d'une affligeante pauvreté.

  • Tout juste, même si la bien-pensence dominante va aboyer 'extrême droite' et continuer à enfumer l'opinion du bon peuple !!

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