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Zigomars subventionnés

 

Commentaire publié dans GHI - Mercredi 30.08.23

 

Le grand scandale, à Genève, c’est celui des « associations ». Vous n’imaginez pas le nombre d’entre elles, ou pire de « collectifs », quasiment tous de gauche, qui vivent en s’agrippant aux deniers publics.

 

Je suis profondément républicain, attaché à l’Etat. Si une cause d’intérêt public doit servir la collectivité, et notamment les plus précaires, c’est à l’Etat de s’en occuper. A Genève, on délègue énormément à cet inextricable tissu « d’associations », qui réclament des subventions, donc notre argent, celui des contribuables Et les obtiennent !

 

Certaines sont utiles, c’est vrai. Et viennent en aide aux plus faibles. Mais combien d’entre elles, incrustées jusqu’à la moelle dans les idéologies de gauche, profitent de l’argent public pour organiser des actions militantes ! Par exemple, au hasard, climatiques.

 

Si ces actes sont illégaux, je le dis tout net, non seulement les responsables doivent être condamnés, mais tout centime de subvention doit être retiré à « l’association », ou au « collectif », avec effet immédiat.

 

Citoyen et contribuable, je n’accepte pas que mes impôts servent à entretenir des zigomars qui, sous couvert « d’activisme », détériorent le patrimoine public, s’en prennent à l’intégrité des personnes et des biens. Au Canton comme à la Ville (où l’arrosoir des subventions pulvérise les records), un inventaire s’impose. Quelques coups de crayon rouge, aussi.

 

Pascal Décaillet

Commentaires

  • Les associations sans but lucratif, ça n'existe pas!
    Les subventions? dans les cas honnêtes, ce sont des investissements et on s'attend à un retour et des retombées. C'est donc du marketing. Du placement de court terme. Dans les autres cas, c'est du lucre pour quelques individus.

    Je vous donne un exemple dont j'ai pu observé le détournement de l'objectif premier de l'association que je voulais créer pour venir en aide et en soutien à des travailleurs qui subissaient la violence du harcèlement moral et professionnel jusqu'à les pousser à craquer et à se suicider. Ce sont des conditions de travail extrêmement dangereuses et destructrices. J'appelle cela de la précarité et du péril au travail.
    Les quelques personnes les plus promptes à vouloir participer, étaient des personnes qui ne connaissaient absolument pas le milieu des travailleurs ni ce que cela représentait d'aller travailler tous les jours. Elles n'avaient jamais travaillé dans leur vie. Elles étaient subventionnées pour vivre à l'abri de tout souci, loyer payé, tout comme la caisse maladie etl'abonnement mobilité des transports en commun.
    Ces quelques personnes ne manquaient pas de science ni de procédés dans la manipulation pour prendre le pouvoir et expurger les initiants fondateurs dont moi, pour en faire une "Association de précaires" - sous entendu économiques - qui vivaient déjà, tous, du denier public.
    Elles avaient trouvé, auprès des partis politiques (élections. Le bon moment), des syndicats et des autres associations déjà assises, le soutien crucial, la nécessaire acréditation.
    En fin de compte, elles avaient réussi, à trois ou quatre adhérants (nombre obligatoire pour former un bureau, ensuite seulement 2, peut-être 3, après obtention du subside) à décrocher une subvention d'une centaine de milliers francs par année.
    Savez vous que le rapport d'activité peut s'inventer comme un nouveau projet?
    Savez vous qu'il suffit d'imaginer ce qu'on pourrait faire mais qu'on n'avait pas fait? On peut facturer ses petites envies de luxe et les faire passer pour des actions. la production de justificatifs n'est jamais exigée.
    On peut défiler dans les manifs et exhiber une banderole juste pour faire acte de parution et de présence...
    Les rapports ne sont délibérément jamais vérifiés. Tout le monde veut croire sur parole et c'est ce qu'il se passe. Les mensonges ont le don d'adoucir l'oreille du subventionneur. Parfois, il suffit de lui rappeler qu'ils sont le petit peuple qui a un certain pouvoir d'influence auprès de ses semblables et que ses semblables peuvent être conviés à aller voter grâce aux "Précaires". Les habiles et discrètes éloges font bien plus d'effet qu'une campagne ouvertement politique. Ce sont, malgré tout, des voix!
    Disons que ce réseau de bonimenteurs sont la cheville ouvrière des partis et des syndicats. Une cheville, souvent, ça tient tout le meuble. Une seule qui viendrait à se désolidariser peut faire des dégâts d'image énormes.

    Voilà, j'avais force appris la leçon à mes dépens. Des idées trop altruistes, ne plaisent pas aux pauvres ladres ni aux corps intermédiaires. Ces gens dit précaires, n'ont jamais travaillé. Ils vivent très bien, sans souci grâce à toutes ces sortes de combines en exploitant nos lois laxistes et leurs dispositions légales défaillantes et mal pensées. Elles sont beaucoup plus à l'aise que ceux qui passent les 3/4 de leur vie à trimer, à se faire du souci pour payer les impôts sans compter tous les autres prélèvement obligatoires que ne paient pas les Précaires.

    Morale: les vrais précaires du travail resteront ignorés, maltraités et méprisés.
    Référence: https://www.lemagit.fr/actualites/2240196260/Le-rapport-Technologia-accable-la-direction-de-France-Telecom
    Ici c'est un exemple en France. Dans cette même période, avec l'invasion des frontaliers de Bordeaux, Paris, Perpignan etc. placés à la tête des structures publiques et privées chez nous, généraient beaucoup de conflits sur la place de travail en Suisse. Rivalités, évictions, sabotages, menaces et violences faisaient parti du tragique quotidien du travailleur suisse compétent et bien formé. On leur avait filé l'ennemi du travail bien fait et consciencieux entre les pattes. (je n'ai jamais su quel intérêt de cette aberrante politique).

    Mais pour les audits, nos autorités et patrons imbéciles n'ont jamais choisi un cabinet de la qualité et de l'honnêteté du Cabinet Technologia. Vraiment une équipe équipée pour auditer tous les métiers. Ils préféraient les pseudo-spécialistes du New Management, en réalité, le management de la terreur qui rendait tout précaire.
    Ils avaient préféré honorer un contrat de 60 millions de francs pour un audit étalé sur plusieurs années qui n'était jamais achevé. Incompréhensible! Inexplicable.
    Là aussi, c'est une sorte de subvention à une bande d'incapables, vaniteux, sans grande capacité ni intelligence. Les employés de l'administration peuvent toujours témoigner!

    Chez nous, ce phénomène sévissait dans toutes les administrations cantonales. Beaucoup de grandes entreprises, elles aussi, avaient payé le prix fort pour des frontaliers lointains qui usurpaient leurs diplômes et leurs compétences qu'ils n'avaient pas ni qu'ils aient pu démontrer. Sur le terrain, c'était des conflits destructeurs pour les individus et pour l'économie des entreprises. C'était aussi un goufre pour les caisses-maladie.
    Entre 2000 et 2015. il y avait beaucoup plus d'épidémies de suicides et d'absentéisme au travail qu'à n'importe quelle autre période de l'histoire récente. Les statistiques le montraient bien, et tout cela, à cause de ces parasites multiformes, improductifs, voraces et toxiques. Ils n'ont jamais rien donné à la société. Ils ne savent que prendre et voler par astuces légaux

    Voilà un cas d'école à propos de détournement des buts d'une association dès sa gestation. C'est un fléau qui empoisonne et qui vole les travailleurs du pays en les privant des quelques rares opportunités de se défendre, car les avocats ne défendent que les gros solvables donc les harceleurs de la hiérarchie. Ces moyens, les sous, nos contributions, sont captés par ces parasites qui pleurent misère auprès de tous les partis, tout le temps. A l'époque, il se trouvait que beaucoup venaient de France, les femmes, par vagues, attendaient à nos frontières, conseillées et guidées par les femmes du mouvement Fuchsia. La clé du succès: se faire faire un enfant et ne pas connaître son père. Puis demander protection auprès de la Suisse. Il suffisait d'y être déjà hébergée.

    Petite association, petite science discrète mais efficace.
    Grande association, grande science trompeuse avec tam tam marketing et grosse subvention.
    L'ensemble est une métastase cancéreuse incurable qui avale nos finances publiques.

  • Les mouvements de gauche, prompts à vouloir la transparence du financement des partis et campagnes politiques, oublient très volontiers les montants colossaux d'argent public qui servent à financer leurs idées. Subventions politiques, subventions culturelles, redevance radio-tv.

  • Dans sa livraison d'aujourd'hui, FranceSoir a invité Thibaut Kerlirzin, un consultant en intelligence économique formé à l'école de guerre économique.
    A propos des ONGs - c'est aussi ce nom qu'on donne aux associations genevoises (dont le pseudo ministère étaitdirigé par un ancien journaliste).
    Les révélations de Th. Kerlirzin ne sont pas une surprise ni une nouveauté, mais elles apportent des détails, une aide à la lecture du phénomène et à comprendre ce tissu social qui colle à notre peau, ce tissu pollué par la corruption latente ou active qu'on ne peut voir que difficilement tant on fait corps avec.
    D'autres interviewes nous découvrent tous, à vivre comme des filaments dans un torron (ou torche) portant le système corrupteur (la corruption comme énergie motrice et comme carburant de notre éducation par l'exemple). Nos institutions l'incubent et le propage ce phénomène est considéré comme normatif. Le peuple et ses élus font partie de cette haleine fétide voire putride.
    https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/des-entreprises-utilisent-des-ong-pour-influencer-les-decisions

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