Commentaire publié dans GHI - Mercredi 14.06.23
Alléger la charge fiscale, étouffante aujourd’hui, des classes moyennes. C’est l’enjeu numéro un de la législature qui commence. Celui sur lequel la nouvelle majorité de droite, issue des urnes ce printemps, s’est engagée avec force. Elle doit impérativement tenir parole, le faire sans délai, sans concessions, avec courage, ampleur de vue, volonté d’écrire une page de notre Histoire fiscale genevoise.
Dans notre canton, plus de 36% des gens ne payent pas du tout d’impôts. Ils touchent des subventions. Et puis, à partir d’un certain seuil, vous commencez à en payer. L’impôt sur le revenu est progressif. A force de travail, de persévérance, d’amour de votre métier, vous commencez à gagner correctement votre vie. Et là, vous devenez la proie d’un système de véritable prédation de votre patrimoine.
L’administration fiscale n’y peut rien. Elle ne fait qu’appliquer la loi, décidée au fil des décennies par les élus du peuple. Si certaines catégories payent trop d’impôts, ça n’est pas à cause du percepteur, mais d’une représentation populaire de plus en plus gourmande pour le train de vie de l’Etat.
La nouvelle majorité de droite doit s’occuper des fins de mois. Du pouvoir d’achat. De la formation, l’apprentissage notamment. De l’emploi des jeunes. De la dignité des retraites. Et elle doit très vite diminuer les impôts des classes moyennes, ceux qui se lèvent le matin pour aller bosser, triment toute leur vie. Et à qui l’Etat prend beaucoup trop.
Pascal Décaillet
Commentaires
Si vous le permettez, je vais utiliser de la prose version Céline (punch verbal).
36% de personnes qui ne payent pas d'impôt! Et parmi ces 36% quel pourcentage d'étrangers et de "réfugiés" du tiers monde qui n'auraient pas la possibilité d'être sur notre sainte terre sans ce statut violé massivement? Une majorité!
En France, ils se rendent compte que l'immigration coûte Euro 100 milliards par an. Et c'est sans compter le coût énorme de la délinquance des immigrés et de leurs descendants. Chut! Ne surtout rien révéler, les bobos pourraient être outrés comme quand un athée donne son opinion face à des religieux (mais cela on peut).
L'esprit mondialiste, importateur massif d'immigrants pauvres et peu éduqués, éventre avec ferveur les finances de l'indigène suisse. Et il en est de même dans le reste de l'Europe.
Le problème est du côté des dépenses. Les réduire permettra de baisser la charge fiscale.
En faisant partir les improductifs étrangers nous restaurerions sans problème les finances et pourrions financer une politique familiale propre à favoriser la natalité des familles indigènes suisses. Par la baisse du nombre de travailleurs étrangers, le système de l'offre et de la demande permettrait aux salaires des indigènes suisses de progresser naturellement par le retour de la concurrence entre employeurs pour attirer les travailleurs indigènes (et non plus la concurrence entre prolétaires du monde entier pour séduire un employeur).
C'était le cercle vertueux avant l'entrée de la Suisse dans les bilatérales perverses et la reprise des lois sur les réfugiés de la mondialiste otannesque Union Européenne.
A-t-on le droit de le dire chez vous? Ou est-ce comme l'athée qui donne son opinion à un croyant, c'est interdit?