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Qu'il pleuve ou qu'il vente

 
Sur le vif - Lundi 16.11.20 - 12.52h
 
 
La rupture des négociations avec le Cartel, par le Conseil d'Etat, est une excellente chose. Et trace la limite à certaines indécences.
 
Nos entreprises souffrent, comme jamais. Leurs employés, dans le secteur privé, aussi. Les petits indépendants sont dans une situation inimaginable. Les cafetiers. Les restaurateurs. Les hôteliers. Les petits commerçants. Les coiffeurs. Et tant d'autres.
 
On nous permettra, dans ces conditions, de ne pas considérer comme absolument prioritaires les revendications de ceux dont le salaire, qu'il pleuve ou qu'il vente, tombe de toute façon, à la fin du mois.
 
 
Pascal Décaillet

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