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Macron : mon chouchou

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Sur le vif - Lundi 20.02.17 - 13.36h

 

Si j'étais Français, le dernier candidat pour lequel je voterais, je dis bien le DERNIER, est Emmanuel Macron.

 

Pour une simple raison : aussi sympathique soit-il, je ne décèle rien en lui qui soit de nature à m'inspirer l'idée de l'Etat, l'idée de la Nation. Quelque chose d'un peu dur, régalien, cadastré. Quelque chose comme un cimetière militaire, du côté de Douaumont. Quelque chose comme la mémoire du tragique, le respect du sang versé, la passion du passé. Et pas juste pour raconter n'importe quoi, avec une insoutenable légèreté, dans cette Algérie dont l'Histoire m'est si chère.

 

Or, ces deux idées, l'Etat et la Nation, m'importent.

 

Parce que, s'il n'y a plus ni Etat ni Nation, alors ne subsisteront qu'élégants marquis d'Ancien Régime, parfumés dans leurs salons de jeux. Et loi de la jungle, loi du plus fort. Casino, mondialisé. Et fardeau, pire encore, pour les plus démunis. Ce qui n'est pas exactement l'idée que, depuis l'âge de sept ans et demi (décembre 1965) je me fais de la France.

 

C'est aussi simple que cela. Je n'ai rien d'autre à dire sur ce candidat.

 

Pascal Décaillet

 

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