Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • Alors, allons-y pour le peuple !

     

    Sur le vif - Mercredi 22.07.20 - 22.46h

     

    La Suisse doit mettre fin à la libre circulation multilatérale. Et passer, en fonction de ses besoins, des accords sectoriels avec les pays qu'elle souhaite avoir pour partenaires. Sur la base de quotas, de contingents. En tenant le couteau par le manche. Et en faisant systématiquement ratifier par le peuple, entendez le suffrage universel, chacun des accords signés, pays par pays.

    Reprendre le contrôle de la politique migratoire exige cette quadruple posture : fin du multilatéralisme, accords avec des pays choisis, détermination souveraine des flux, décision du corps des citoyennes et citoyens sur chaque accord.

    La Suisse est une démocratie. Ce sont les citoyens qui décident. Pas les hauts-fonctionnaires à Berne. Ni le patronat. Ni les syndicats. Ni les partis politiques. Ni les groupes de pression. Ni les professeurs de droit. Ni les corps intermédiaires.

    La démocratie, c'est le pouvoir au peuple. Alors, osons ! Allons-y pour le peuple !

     

    Pascal Décaillet

  • On s'la joue à la Suisse ?

     

    Sur le vif - Mercredi 22.07.20 - 17.50h

     

    Une idée, juste en passant : et si l'Union européenne faisait ratifier, à la double majorité du peuple et des 27 États membres (au moins 14, donc), la petite plaisanterie des 750 milliards d'endettement ?

    Ils pourraient ainsi tester la prodigieuse popularité de la machinerie européenne auprès des citoyens-contribuables du vieux continent, non ?

     

    Pascal Décaillet

  • Le Prince, l'usurier, le peuple

     

    Sur le vif - Mercredi 22.07.20 - 08.31h

     

    On ne crée pas un sentiment commun d'appartenance en mutualisant une dette ! Aucune solidarité interne, dans aucune collectivité humaine, ne s'est forgée, dans l'Histoire, par un tel tour de passe-passe, où le Prince pactise avec l'usurier, sur le dos du peuple qui travaille.

    On créera, bien au contraire, un sentiment commun de dépossession. Pour les classes moyennes. Éreintées par la fiscalité encore plus lourde pour payer cette nouvelle dette continentale, elles n'en pourront tout simplement plus. Et se révolteront.

    Partout en Europe, il faudrait alléger la fiscalité sur le travail. Et voilà qu'on va la rendre plus pesante encore. Et on crée une Ferme générale européenne pour financer les numéros d'illusion de M. Macron pour se maintenir au pouvoir. La ficelle est énorme, nul esprit lucide n'en est dupe.

    Nous, Suisses, demeurons glacialement distants de ce casino du mensonge. Et, au passage, allégeons d'urgence notre fiscalité sur le travail. Nous avons aussi nos classes moyennes, qui étouffent.

    Les gens honnêtes, qui bossent, ont trimé toute leur vie, et ne peuvent rien mettre de côté parce que l'Etat leur pique tout, ne se laisseront plus tondre très longtemps.

     

    Pascal Décaillet