Sur le vif - Jeudi 02.05.13 - 11.17h
Au Matin, chaque grande figure de l'UDC a un journaliste pour le marquer à la culotte, comme au football. Pour Yvan Perrin, c'est Ludovic Rocchi, l'homme qui s'était déjà acharné sur Frédéric Hainard. Pour Oskar Freysinger, c'est Eric Felley, lui-même ancien candidat au Conseil d'Etat. Dans les deux cas, la tactique est la même: on démolit à mort le candidat UDC pendant la campagne. Une fois qu'il est (salaud de peuple!) tout de même élu, ou en ballotage très favorable au premier tour, on tartine comme des Polonais pour rappeler ses problèmes de santé, dire que ça va être impossible pour lui, qu'il ne va pas y arriver. C'est cette presse-là qu'il faudrait à tout prix sauver ?
Pascal Décaillet