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Des actes, pas du blabla !

 

Sur le vif - Lundi 18.09.23 - 09.23h


La tradition, très helvétique, des "Cent jours" d'un magistrat exécutif est totalement absurde.

Les candidats ont des mois pour faire campagne. Ils ne s'en privent pas. Promesses, plans sur la comète, c'est fait, c'est derrière. Si on reprend la parole après cent jours, désolé, mais ça ne peut être pour annoncer un nouveau "plan d'action". Encore moins, des "États généraux". Où cela ? Dans la Salle du Jeu de Paume ?

Le corps des citoyens en a marre des "plans d'action". Marre des paroles. Marre du blabla. Nous voulons des actes. En cette période de crise intense du pouvoir d'achat, d'étouffement de la classe moyenne par les primes maladie et la fiscalité, il nous faut des mesures rapides, concrètes, efficaces. Le verbe politique ne fait plus rêver personne. Les beaux parleurs ont calciné le dernier kopeck de leur crédit politique. Nous avons besoin de silence et d'action.



Pascal Décaillet

Commentaires

  • Très bonne mise en garde contre le miroir aux alouettes des politicards.

    les "Cent jours" sont loin derrière pour les sortants. C'est plutôt l'heure du bilan.

    Juste une réflexion:
    On ne peut mettre à l'exécutif un lapin qui court après toutes les carottes à la fois. On a besoin d'hommes et de femmes matures et stables qui honorent les responsabilités, les volontés et la confiance des électeurs. Pas de guignols ni de larbins.

    Leurs promesses doivent être écrites par eux-même, pas par leurs églises politiques. Elles doivent être décrites en de grandes lignes. Elles constitueront la feuille de route. celle-ci doit être considérée comme un serment de service: "Au nom de ces promesses je jure ou je promets à la population de ne pas m'en écarter ni de me laisser tenter par la corruption passive ou active...etc..."

    Genève avait voté une loi pour la destitution d'un magistrat en cas de. Est-elle toujours valable? Ou bien n'avait il été applicable qu'à Pierre Maudet qui n'avait volé personne? (Quelle République Bananière! Pourrie à la base! On ne s'étonnera pas que nos conseillés fédéraux n'ont plus d'amarres de lestage en Suisse: Berset, Cassis, Amherd, trois navires à la dérive après la Mammy Widmer Schlumpf. Ca fait beaucoup pour la petite ile Helvétie!

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