Sur le vif - Mercredi 02.08.23 - 07.30h
Les « inculpations » contre Trump sont du cirque, téléguidé par le pouvoir démocrate. Elles n’intéressent que le Temps et la RTS, autant dire la vieille garde des moralistes mondialisés. La seule bataille qui vaille est politique. Elle se jouera l’an prochain. Et opposera deux conceptions radicalement différentes du rôle des États-Unis dans le monde. Cette bataille, les électeurs doivent la trancher, en aucun cas les juges.
Pour mémoire, Trump, c’est zéro guerre en quatre ans. Le contraire du bellicisme de Biden et des démocrates. Des solutions politiques pour régler les crises internationales. La priorité au redressement intérieur. Et des résultats économiques remarquables, jusqu’à l’arrivée du covid.
La presse romande, totalement offerte à l’idéologie démocrate et au bellicisme en Europe orientale, déteste Trump. Elle reproduit servilement le prêt-à-penser démocrate. Elle le faisait déjà en 1974, contre Nixon. Elle a soutenu Hillary Clinton, marionnette du lobby militaro-industriel, en 2016. Elle a soutenu Biden en 2020. Elle vomira Trump en 2024, nous inondant de « révélations » sur les « inculpations ».
Et le peuple américain ? Que fera-t-il ? En novembre 2024, que pensera-t-il des centaines de milliards engouffrés dans la guerre en Ukraine ? La seule question qui vaille est celle-là. Le reste, c’est de la propagande démocrate mondialisée. Des appâts pour journalistes de gauche, moralistes. Bref, des miettes de néant.
Pascal Décaillet
Commentaires
Assez d’accord sur la question du non-bellicisme de Trump. Toutefois l’expression zéro guerre est inappropriée, Des guerres - certes initiées par ses prédécesseurs - ont continué, comme les bombardements des Houthis au Yémen. Cela dit, le mépris de Trump à l’égard du demos justifie à mes yeux amplement les poursuites en cours, et par ailleurs la séparation des pouvoirs, et donc le plein exercice du pouvoir judiciaire, ne saurait être remis en question.
Monsieur Décaillet,
Moi aussi, heureux de vous retrouver. J’ai beaucoup apprécié votre billet précédent sur le socialisme et, surtout, votre respect de l’autre. Quant aux miettes pour ma part je pense qu’avant 2024, les USA seront morts économiquement et politiquement de sorte que ce qui restera de l’hégémonie occidentale n’intere4ssera même plus le Temps et le RTS !
Je ne sais pas sis vous allez de temps en temps voir des videos sur Youtube où sont proposés des extraits des interrogatoires au congrès d'éminentes personnalités politiques dans le cadre notammen de l'enquête sur Hunter Biden. Je croyais moi-même avoir fait le tour de la question, notamment sur les pots de vins que la famille Biden a perçu de la société Burisma en Ukraine. Or, que néni. Chaque jour charie son lot d'immondices sur la famille Biden. Ainsi, ce dimanche 6 août, m'a-t-il été donné de voir une vidéo proprement hallucinante sur l'interrogatoire du ministre Merick Garland: l'interrogateur commence par exposer un tableau de Monet parti aux enchères pour 500'000 dollars. Il expose ensuite un tableau de Degas parti pour 500'000 dollars. Vient un troisième tableau que montre l'interrogateur: de qui est-il demande-t-il à Garland? Après un instant, devant l'air dubitatif de l'interogé, il nous donne la réponse: "Hunter Biden". Ce tableau est parti pour la modique somme de 700'000 dollars.
"Mais qu'est-ce qui, dans la vie antérieur de Hunter Biden a pu nous faire croire que celui-ci possédait un talent artistique caché?
Puis d'apprendre que même un membre de la commmission d'étique d'Obama avait supplié la famille Biden de retirer ce tableau de la vente...
Incroyable et pourtant véridique. Hunter Biden est bien un escrot pathologique et son père complètement impliqué dans le trafic de pots de vins.
Comme d'habitude, la presse romande se tait, trop occupée sans doute qu'elle est de taper sur Trump.