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Pourquoi je dépose plainte contre M. Hodgers

 

Sur le vif - Mardi 01.02.11 - 15.49h

 

Pour la première fois de ma vie, j’attaque quelqu’un en justice, afin d’obtenir réparation. Il s’agit de M. Antonio Hodgers, conseiller national, chef du groupe des Verts aux Chambres fédérales. Une personne contre laquelle je n’ai, d’ailleurs, strictement rien à titre personnel, loin de là.

 

Mais politiquement, oui, j’ai parfois exprimé dans des commentaires ou éditoriaux mes réserves sur l’action de M. Hodgers. On ose espérer qu’en démocratie, cela soit encore possible. Ainsi, samedi, sur mon blog, je publiais quelques lignes de pamphlet intitulées « Les Pieds Nickelés à Carthage ». Chacun peut lire ce texte, sur ce même site. Et chacun en pensera ce qu’il voudra. Pour ma part, je n’y retrancherai nulle virgule.

 

Piqué au vif, M. Hodgers réagit, ce qui est de bonne guerre. Il m’attaque sur Facebook, soit. Ce qui ne va pas, c’est qu’il énonce, par la reprise d’un seul témoignage, quelque chose de faux. Factuellement faux. Nous ne sommes plus là dans le combat des idées, mais dans la diffamation. Je ne l’accepte pas. C’est tout.

 

Ma démarche judiciaire n’est en rien dirigée contre l’homme politique Antonio Hodgers, ni contre ses idées, ni même contre le fait qu’il m’attaque. Elle vise simplement à rétablir une vérité factuelle que son texte a bafouée. Entraînant dans sa foulée – mais c’est une autre affaire – le délire habituel de commentaire anonymes et vindicatifs.

 

 

Pascal Décaillet

 

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