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  • Crever l'abcès

     

    Sur le vif - Dimanche 22.09.19 - 09.54h

     

    Genève : le collège gouvernemental présente de tels dysfonctionnements internes, dévastateurs de son autorité, qu'il devrait, dans l'intérêt supérieur de l’État, remettre son mandat dans les mains du peuple. Cela sereinement, sans psychodrame, ni précipitation.

    Libre à chacun de se représenter, le souverain saura faire la part des choses. Confirmer sa confiance, ou non.

    Cette réflexion citoyenne d'un homme libre et indépendant s'adresse à l'exécutif, pas au Grand Conseil, ce dernier n'ayant pas failli à sa tâche, et pouvant servir le Canton jusqu'au printemps 2023.

     

    Pascal Décaillet

     

     

  • Comment osez-vous ?

     

    Sur le vif - Jeudi 19.09.19 - 15.58h

     

    Comment le Cartel ose-t-il encore se plaindre, suite au projet de budget 2020 ? Alors que renflouer la CPEG, en conservant un mode de répartition des cotisations incroyablement favorable aux employés, donc incroyablement onéreux pour les contribuables, va vider les poches de la classe moyenne genevoise, déjà pressée comme un citron.

    Mesdames et Messieurs les défenseurs professionnels des fonctionnaires, pensez un peu aux gens du privé ! Pensez aux contribuables indépendants, qui doivent financer eux-mêmes la totalité de leurs retraites ! Comment osez-vous ? Mais comment osez-vous !

     

    Pascal Décaillet

     

     

  • Aimons nos arbres !

     

    Commentaire publié dans GHI - 18.09.19

     

    Votre serviteur serait-il lui-même un bobo ? Ce serait quand même le comble, si vous avez pris la peine de lire l’article ci-contre ! Oh, certes, il ne se déplace pas à vélo. Et défend mordicus le trafic privé motorisé en ville. Il est passionné, depuis l’âge de sept ans, par les guerres et les conflits, le tragique de l’Histoire. Il est persuadé de l’immanente noirceur de l’âme humaine, tant que s’exercera le jeu de miroirs du pouvoir. En clair, il ne croit que modérément à l’idée de progrès.

     

    Mais en même temps, comment ne pas aimer passionnément la nature, qui est si belle ? Sentiers valaisans, l’été, à n’en plus finir. Les bisses, les torrents, les lacs de montagne, les gentianes, le silence des vallons. Le reste de l’année, à Genève, une promenade, toujours la même depuis plus de vingt ans, sur les lieux qui furent ceux de son enfance. La même boucle, au millimètre près ! Les mêmes arbres, dont certains plus que centenaires, et parmi les plus beaux qui soient.

     

    Alors, oui ! Oui à la nature. Oui à la protection des paysages. Oui à l’amour inconditionnel des arbres. Oui à leur préservation, leur salut. Ils sont nos compagnons de vie, nos amis. Nous leur parlons, nous les admirons, nous les prenons à témoin. Ils sont nos repères, nos contemporains. Il est parfaitement normal, légitime, de se battre pour sauver des arbres. Être humain, c’est s’inscrire dans la reconnaissance de toute vie. Il n’y a, à cela, nulle sensiblerie. Juste la joie partagée de se reconnaître dans la Création.

     

    Pascal Décaillet