Sur le vif - Mardi 19.11.24 - 04.24h
De deux choses, l’une. Soit l’ineffable équipe de fonctionnaires de la Mobilité, dans l’affaire de l’impôt auto, danse sur le ventre du ministre. Tout comme elle a dansé sur ceux de Mme Künzler, puis de M. Dal Busco. La même équipe qui nous balance des feux verts à quatre secondes, devant la Cave valaisanne. Dans cette première hypothèse, le ministre ne contrôle pas ses troupes.
Soit le ministre est au courant du détail des hausses, et les avalise. Dans ce second cas, il devra en répondre politiquement. Et affronter, en son nom, l’immense et légitime colère des Genevois.
Il n’y a pas de troisième solution.
C’est le pari de Pascal.
Pascal Décaillet
Commentaires
Une troisième solution serait le non- paiement de l'impôt par un très grand nombre de citoyens, non?