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  • DIP : ça suffit !

     

    Sur le vif - Mardi 21.01.20 - 09.54h

     

    Tant que le DIP n'aura pas pris les mesures STRUCTURELLES qui s'imposent, en rééquilibrant les forces entre l'intendance et le front, au profit de ce dernier, les élus légitimes du peuple auront raison d'exiger de lui une gestion plus saine.

    Car les élus représentent le peuple. Et, dans le peuple, les contribuables de la classe moyenne, soumis à une pression fiscale inimaginable pour entretenir un appareil d'Etat qui doit se montrer exemplaire dans son utilisation des deniers publics.

    Quant à la magistrate en charge du Département, elle est la mieux placée pour constater, autour d'elle, la floraison des secrétaires généraux adjoints, et autres commis d'état-major. C'est dans cette armada que des réformes s'imposent.

    Elle doit aussi écouter les critiques, en tenir compte, et penser constamment aux Genevoises et Genevois qui se saignent pour payer l'un des impôts les plus élevés de Suisse.

    Elle doit penser aux gens du privé, qui n'ont pas la chance de bénéficier de l'incroyable répartition des taux de cotisation LPP des fonctionnaires, 2/3 à la charge des employeurs !

    Elle doit enfin montrer un peu de respect pour les indépendants, ceux qui payent plein pot leur AVS, et bien sûr aussi leur prévoyance professionnelle, s'ils ont la chance de pouvoir en contracter une. Pour eux, la précarité, la vraie, peut surgir à tout moment.

    Le DIP doit mettre de l'ordre dans sa gestion. C'est parfaitement possible sans punir les élèves. Sans les priver de prestations, comme basse vengeance face à des décisions du Parlement, donc des élus légitimes du peuple de ce canton.

     

    Pascal Décaillet

     

     

  • Sois libre, bordel !

     

    Sur le vif - Lundi 20.01.20 - 16.16h

     

    Beaucoup trop de "collectifs", de comités, d'associations ! Avec leurs hiérarchies internes, leurs gourous, leurs suiveurs, leurs moutons, leurs pleureuses, leurs hystériques.

    D'où vient-il, ce besoin de s'agglutiner ?

    Il nous faut des hommes et des femmes individuellement responsables ! Ciselés dans leur solitude. Sales tronches. Têtes de lard. Mais assumant leurs valeurs, chacun pour soi, sans se croire obligé de se référer à une appartenance grégaire : "Je dois voir avec le collectif, vous comprenez, nous décidons ensemble".

    Et pendant qu'ils "décident ensemble", la responsabilité individuelle, celle des Humanistes, des Réformateurs, des âmes libres, elle est passée où ? Au vestiaire ? Dégoulinante, comme un parapluie, tout humide encore de la rosée du matin ?

    Laissons chaque humain parler librement, individuellement, pour soi. Moins de "collectifs", davantage d'âmes errantes ! Que ta parole soit tienne, et aussi la noirceur d'ébène de ta colère. Et aussi, ta joie, ta fureur, ta lecture, ton éclairage, tes personnages, tes décors.

    Et avant tout, ton verbe. Le tien, ton style à toi. Et pas celui de ton voisin. Et pas celui, par pitié, de ton gourou.

     

    Pascal Décaillet