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De même que l'on contrôle l'eau d'un barrage

 

Sur le vif - Mercredi 26.08.20 - 13.32h

 

Depuis l'entrée en vigueur de la libre circulation, la Suisse a perdu le contrôle de son immigration. Elle a donc perdu l'un des attributs cardinaux d'une nation. Chacune, sur cette Terre, doit être libre de régler elle-même ses flux migratoires. De même que l'on contrôle l'eau d'un barrage. Cela, dans l'intérêt supérieur de ses citoyennes et citoyens, qui n'ont pas à se laisser submerger.

Ce contrôle perdu, depuis une vingtaine d'années, par la Sainte-Alliance d'une partie du patronat et de la trahison syndicale, il s'agit simplement de le rétablir.

Ile ne s'agit pas de fermer les frontières, ceux qui le disent nous mentent éhontément.

Il ne s'agit absolument pas de xénophobie : réguler les flux migratoires n'implique aucune espèce de jugement dépréciatif sur l'étranger, en tant que tel. Ceux qui brandissent ce terme, xénophobie, dans le débat du 27 septembre, doivent être implacablement remis à leur place. Au besoin, par des procédures en diffamation.

Il s'agit juste de rendre à notre pays une souveraineté qu'il a perdue. Ce pouvoir de restitution nous appartient. A nous tous, citoyennes et citoyens, hommes et femmes libres de ce pays.

 

Pascal Décaillet

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